Initialement prévue ce lundi 17 février 2020, la signature du document final avec les partis politiques pour la clôture du dialogue politique, se fera après le point du rapport au Chef de l’Etat. Voilà ce qu’a annoncé le Premier ministre, Amadou Gon, au terme d’une rencontre qui s’est voulue brève ayant son adresse comme seul point à l’ordre du jour.
En présence des membres du Gouvernement, des responsables des partis politiques et de la société civile, le Premier ministre, Amadou Gon, a fait le rappel de la deuxième phase du dialogue politique entamée le 06 janvier dernier et qui a porté sur le code électoral. Dans le même esprit que les discussions du 24 janvier au 26 juin 2019 sur la recomposition de la commission électorale indépendante.
Au terme de plusieurs rencontres restreintes et en plénière, la rencontre de ce jour vient marquer la clôture des discussions. Selon le Chef du Gouvernement, le rapport qui a été fait par le ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation, des points de convergence, d’accord, de désaccord et des recommandations.
Il s’est réjoui que parmi les points d’accord et de convergence possible, il y ait la question du relèvement du questionnement dans une fourchette qui a été discutée ; il y ait la question du parrainage discutée et admise par toutes parties prenantes; il y ait la question de la baisse du taux du remboursement de la caution ; la question de la transhumance.
« Il y a eu naturellement des points de divergence et des recommandations qui ont été faites soit à l’Administration, soit à la Commission électorale indépendante (CEI) pour rendre le processus encore plus efficace », a indiqué le Premier ministre Amadou Gon, avant d’ajouter par la suite : « nous rendrons compte au Président de la République et au Chef de l’Etat, et le Gouvernement, conformément aux dispositions en vigueur, avisera sur l’ensemble de ces points ».
Après cette déclaration qui a mis fin à la rencontre, des partis politiques et acteurs de la société civile ont dit avoir été surpris. Dr Néné Bi, président de l’APDH (Actions pour la protection des droits de l’homme), a fait savoir qu’il a été surpris comme tout le monde et que son association fera le bilan de ce processus par voie médiatique. Mais, il a confié ceci : « selon les informations que nous avons pu recueillir, il semblerait que c’est pour éviter un certain blocage. Il nous ont fait la promesse de tenir compte de nos observations ».
Par contre, le Secrétaire national chargé des questions électorales du FPI, Kouakou Kra, a exprimé sa désolation de ce que selon lui, ‘’ ce soit un dialogue unilatéral’’. « C’est le dialogue du Gouvernement lui seul, l’opposition n’est pas concernée », a-t-il laissé entendre.
JOB
En présence des membres du Gouvernement, des responsables des partis politiques et de la société civile, le Premier ministre, Amadou Gon, a fait le rappel de la deuxième phase du dialogue politique entamée le 06 janvier dernier et qui a porté sur le code électoral. Dans le même esprit que les discussions du 24 janvier au 26 juin 2019 sur la recomposition de la commission électorale indépendante.
Au terme de plusieurs rencontres restreintes et en plénière, la rencontre de ce jour vient marquer la clôture des discussions. Selon le Chef du Gouvernement, le rapport qui a été fait par le ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation, des points de convergence, d’accord, de désaccord et des recommandations.
Il s’est réjoui que parmi les points d’accord et de convergence possible, il y ait la question du relèvement du questionnement dans une fourchette qui a été discutée ; il y ait la question du parrainage discutée et admise par toutes parties prenantes; il y ait la question de la baisse du taux du remboursement de la caution ; la question de la transhumance.
« Il y a eu naturellement des points de divergence et des recommandations qui ont été faites soit à l’Administration, soit à la Commission électorale indépendante (CEI) pour rendre le processus encore plus efficace », a indiqué le Premier ministre Amadou Gon, avant d’ajouter par la suite : « nous rendrons compte au Président de la République et au Chef de l’Etat, et le Gouvernement, conformément aux dispositions en vigueur, avisera sur l’ensemble de ces points ».
Après cette déclaration qui a mis fin à la rencontre, des partis politiques et acteurs de la société civile ont dit avoir été surpris. Dr Néné Bi, président de l’APDH (Actions pour la protection des droits de l’homme), a fait savoir qu’il a été surpris comme tout le monde et que son association fera le bilan de ce processus par voie médiatique. Mais, il a confié ceci : « selon les informations que nous avons pu recueillir, il semblerait que c’est pour éviter un certain blocage. Il nous ont fait la promesse de tenir compte de nos observations ».
Par contre, le Secrétaire national chargé des questions électorales du FPI, Kouakou Kra, a exprimé sa désolation de ce que selon lui, ‘’ ce soit un dialogue unilatéral’’. « C’est le dialogue du Gouvernement lui seul, l’opposition n’est pas concernée », a-t-il laissé entendre.
JOB