À l’initiative de l’ambassadrice eTrade for Women pour l’Afrique francophone, Patricia Zoundi Yao et en collaboration avec la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED) et ses partenaires, s’est ouverte ce mercredi 26 fevrier 2020 la première Masterclass africaine sur l’économie numérique.
Pendant trois jours (du 26 au 28 février), cette masterclass contribuera à inspirer et renforcer les capacités des femmes entrepreneurs numériques de la région afin que celles-ci aient un siège et une voix au sein des instances décisionnelles pour une économie numérique plus inclusive. A en croire les organisateurs, les travaux qui meubleront ces journées viseront à doter les participantes de plusieurs compétences. Il s’agira de renforcer les compétences des entrepreneurs numériques (via un programme d’interventions adaptés aux besoins de développement des participantes) ; de contribuer à l’émergence d’une communauté de femmes dirigeantes d’entreprises de dans l’écosystème du numérique en Afrique subsaharienne francophone. Mais également de favoriser un dialogue public-privé pour une économie numérique inclusive du genre.
Fofana Rockya, conseiller technique représentant le ministre de l’économie numérique et de la poste a dans son adresse d’ouverture indiqué l’importance du numérique dans le processus d’autonomisation de la femme. Selon elle, de nombreux chantiers et projets sont en cours pour réduire les inégalités entre hommes et femmes en général, et dans le domaine de l’entrepreneuriat numérique en particulier. Pour Fofana Rockya, la Côte d’Ivoire mène actuellement, un projet de Solutions Numériques pour le déclenchement et l’E-agriculture, qui vise à étendre la connectivité et l’accès aux services numériques aux zones rurales enclavées, avec un accent particulier sur les femmes. « Un des objectifs de cet important projet est d’apporter des services numériques à 700 milles femmes dans les zones rurales d’ici 2023 » a-t-elle expliqué.
Bien avant, Yvette Daoud, ambassadrice des Pays-Bas a salué l’initiative et précisé que la promotion de l’entrepreneuriat féminin et la réduction des limitations systématiques liées au genre auront une influence positive sur l’économie.
Cyprien K.
Pendant trois jours (du 26 au 28 février), cette masterclass contribuera à inspirer et renforcer les capacités des femmes entrepreneurs numériques de la région afin que celles-ci aient un siège et une voix au sein des instances décisionnelles pour une économie numérique plus inclusive. A en croire les organisateurs, les travaux qui meubleront ces journées viseront à doter les participantes de plusieurs compétences. Il s’agira de renforcer les compétences des entrepreneurs numériques (via un programme d’interventions adaptés aux besoins de développement des participantes) ; de contribuer à l’émergence d’une communauté de femmes dirigeantes d’entreprises de dans l’écosystème du numérique en Afrique subsaharienne francophone. Mais également de favoriser un dialogue public-privé pour une économie numérique inclusive du genre.
Fofana Rockya, conseiller technique représentant le ministre de l’économie numérique et de la poste a dans son adresse d’ouverture indiqué l’importance du numérique dans le processus d’autonomisation de la femme. Selon elle, de nombreux chantiers et projets sont en cours pour réduire les inégalités entre hommes et femmes en général, et dans le domaine de l’entrepreneuriat numérique en particulier. Pour Fofana Rockya, la Côte d’Ivoire mène actuellement, un projet de Solutions Numériques pour le déclenchement et l’E-agriculture, qui vise à étendre la connectivité et l’accès aux services numériques aux zones rurales enclavées, avec un accent particulier sur les femmes. « Un des objectifs de cet important projet est d’apporter des services numériques à 700 milles femmes dans les zones rurales d’ici 2023 » a-t-elle expliqué.
Bien avant, Yvette Daoud, ambassadrice des Pays-Bas a salué l’initiative et précisé que la promotion de l’entrepreneuriat féminin et la réduction des limitations systématiques liées au genre auront une influence positive sur l’économie.
Cyprien K.