Anyama, Le préfet du département d'Abidjan, Vincent Toh Bi Irié, a expliqué la nécessité de la cohésion sociale aux étudiants de l'université Félix Houphouët-Boigny lors d'une conférence à l'amphithéâtre de Pharmacie.
Intervenant, jeudi, sur le thème « l'étudiant et la cohésion sociale en 2020 », M. Irié a exhorté les étudiants à un changement de comportement et de mentalité par l'adoption de valeurs républicaines.
Il a évoqué les questions de la citoyenneté pour maintenir la cohésion sociale dans la mesure où, selon lui, certains étudiants sont tenus pour responsables d’actes d'incivisme. Il trouve utile de leur expliquer certains aspects du fonctionnement de l'administration et également les mécanismes de gestion des conflits mis en place par l'État.
"Dans tous les pays du monde, les universités sont des lieux de formation des étudiants et également de projection de toute la vie d'une communauté donc l'étudiant doit être conscient de son rôle dans la cohésion sociale, et c'est par le dialogue social que nous arriverons à trouver des solutions à leurs problèmes", a souligné le préfet d'Abidjan.
Le porte-parole des délégués de l'université Félix Houphouët-Boigny, Signeaux Emmanuel, a situé cette activité de cohésion sociale dans le cadre d'un "réveil et d’une prise de conscience". Il a expliqué le rôle de l'étudiant dans la cohésion sociale par sa liberté d'expression et le respect de la franchise universitaire pour une meilleure cohabitation.
"Les étudiants doivent croire en eux-mêmes pour être des acteurs principaux du développement de la Côte d'Ivoire. La paix doit passer par nous pour une cohésion sociale vraie sur l'espace universitaire », a-t-il soutenu.
Cette conférence sur la cohésion sociale a enregistré la présence du secrétaire général de l'université de Cocody, Diomandé Mamadou et du secrétaire national de la Fédération estudiantine et scolaire (FESCI), Allah Saint Clair dit « général Makelélé ».
(AIP)
asga/aaa/ask
Intervenant, jeudi, sur le thème « l'étudiant et la cohésion sociale en 2020 », M. Irié a exhorté les étudiants à un changement de comportement et de mentalité par l'adoption de valeurs républicaines.
Il a évoqué les questions de la citoyenneté pour maintenir la cohésion sociale dans la mesure où, selon lui, certains étudiants sont tenus pour responsables d’actes d'incivisme. Il trouve utile de leur expliquer certains aspects du fonctionnement de l'administration et également les mécanismes de gestion des conflits mis en place par l'État.
"Dans tous les pays du monde, les universités sont des lieux de formation des étudiants et également de projection de toute la vie d'une communauté donc l'étudiant doit être conscient de son rôle dans la cohésion sociale, et c'est par le dialogue social que nous arriverons à trouver des solutions à leurs problèmes", a souligné le préfet d'Abidjan.
Le porte-parole des délégués de l'université Félix Houphouët-Boigny, Signeaux Emmanuel, a situé cette activité de cohésion sociale dans le cadre d'un "réveil et d’une prise de conscience". Il a expliqué le rôle de l'étudiant dans la cohésion sociale par sa liberté d'expression et le respect de la franchise universitaire pour une meilleure cohabitation.
"Les étudiants doivent croire en eux-mêmes pour être des acteurs principaux du développement de la Côte d'Ivoire. La paix doit passer par nous pour une cohésion sociale vraie sur l'espace universitaire », a-t-il soutenu.
Cette conférence sur la cohésion sociale a enregistré la présence du secrétaire général de l'université de Cocody, Diomandé Mamadou et du secrétaire national de la Fédération estudiantine et scolaire (FESCI), Allah Saint Clair dit « général Makelélé ».
(AIP)
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