Le nommé YAPO EBIBA FRANÇOIS FIACRE, né le 03 mai 1984, connu sous les avatars de "Serge koffi le drone" et " Sekongo Koné" a été interpellé le 07 mai 2020 à Yopougon Sogefia. Selon un communiqué émanant de la Police Nationale, le quidam était l’objet de plus d’une vingtaine de plaintes et était recherché par les services de Police.
Plusieurs chefs d’accusations ont été retenus contre l’individu. Il s’agit de trouble à l’ordre public, d’incitation à la haine et à la révolte, d’appel à la rébellion et à la destruction de biens publics et diffamatoires et injures sur internet.
Des faits, YAPO EBIBA FRANÇOIS FIACRE avait communiqué de fausses informations sur les réseaux sociaux via son avatar ’’Serge koffi le drone" relativement à la construction des centres de dépistage du COVID-19 à Yopougon BAE. De fausses informations sur le fait que " la France faisait venir des malades du COVID-19 dans les hôtels comme hôtel ivoire" et d’autres fausses informations sur la prime du COVID-19 des forces de sécurité qu’il dit être de 90 000 francs CFA au lieu de 50 000 francs CFA.
L’exploitation des données scientifiques trouvées en sa possession par la Plateforme de Lutte contre la Cybercriminalité ( PLCC) a permis de découvrir des preuves qui l’incriminent.
Selon la note d’information transmise à la rédaction d’Abidjan.net, au cours de l’interrogatoire qui s’est déroulée ce mardi 12 mai 2020 à Abidjan, il a reconnu être le détenteur de ces comptes Facebook avatars. Il prétend informer les populations mais ne prenait pas le temps de vérifier la véracité des informations qu’il recevait de ses sources moyennant de l’argent.
"N’étant pas journaliste, mais plutôt informaticien, ses sources proviennent de la politique, des forces de défense et de Sécurité dont l’objectif est de créer la discorde, la diffamation, l’incitation à la haine et à la révolte", précise ce communiqué.
À en croire les services de la Police Nationale, il sera donc déféré devant les tribunaux pour répondre de ses actes.
" C’est le lieu de rappeler que tous ceux qui publient ou relaient de fausses informations même sous des avatars seront tôt ou tard recherchés et interpellés par la Plateforme de Lutte contre la Cybercriminalité", a conclu communiqué.
Cyprien K.
Plusieurs chefs d’accusations ont été retenus contre l’individu. Il s’agit de trouble à l’ordre public, d’incitation à la haine et à la révolte, d’appel à la rébellion et à la destruction de biens publics et diffamatoires et injures sur internet.
Des faits, YAPO EBIBA FRANÇOIS FIACRE avait communiqué de fausses informations sur les réseaux sociaux via son avatar ’’Serge koffi le drone" relativement à la construction des centres de dépistage du COVID-19 à Yopougon BAE. De fausses informations sur le fait que " la France faisait venir des malades du COVID-19 dans les hôtels comme hôtel ivoire" et d’autres fausses informations sur la prime du COVID-19 des forces de sécurité qu’il dit être de 90 000 francs CFA au lieu de 50 000 francs CFA.
L’exploitation des données scientifiques trouvées en sa possession par la Plateforme de Lutte contre la Cybercriminalité ( PLCC) a permis de découvrir des preuves qui l’incriminent.
Selon la note d’information transmise à la rédaction d’Abidjan.net, au cours de l’interrogatoire qui s’est déroulée ce mardi 12 mai 2020 à Abidjan, il a reconnu être le détenteur de ces comptes Facebook avatars. Il prétend informer les populations mais ne prenait pas le temps de vérifier la véracité des informations qu’il recevait de ses sources moyennant de l’argent.
"N’étant pas journaliste, mais plutôt informaticien, ses sources proviennent de la politique, des forces de défense et de Sécurité dont l’objectif est de créer la discorde, la diffamation, l’incitation à la haine et à la révolte", précise ce communiqué.
À en croire les services de la Police Nationale, il sera donc déféré devant les tribunaux pour répondre de ses actes.
" C’est le lieu de rappeler que tous ceux qui publient ou relaient de fausses informations même sous des avatars seront tôt ou tard recherchés et interpellés par la Plateforme de Lutte contre la Cybercriminalité", a conclu communiqué.
Cyprien K.
