Yamoussoukro– Le président du Sénat ivoirien, Jeannot Ahoussou-kouadio, a invité lundi les autorités ivoiriennes à privilégier de nouveaux outils telle l’intelligence artificielle en vue de lutter efficacement contre les crises auxquelles le pays pourrait faire face après l’épisode de la Covid-19.
Il s’agira selon lui de se donner les moyens à travers l’intelligence artificielle d’établir des diagnostics médicaux « beaucoup plus précis et rapides », a indiqué le président du Sénat.
« Bien évidemment une attention toute particulière devrait être accordée au développement de la recherche et des sciences pharmaceutiques. A cette fin les implantations des industries pharmaceutiques sont à encourager par la prise de mesures incitatives d’ordre fiscal et administrative », a-t-il précisé.
Dans cette même veine le président de la deuxième chambre du parlement n’exclut pas la médecine traditionnelle dont la collaboration avec la médecine moderne devrait se renforcer.
L’exploration de ces nouvelles voies qui s’offrent aux décideurs de la Côte d’Ivoire ne doit cependant pas s’accommoder de fausses croyances et fausses informations dont la diffusion sème bien souvent la confusion au sein des populations.
« Je m’élèverais toujours contre ces fausses informations diffusées à dessein par des personnes mal intentionnées en cette période de crise sanitaire qui ont assurément accompagné et favorisé la propagation de cette pandémie à Abidjan », a fait savoir Ahoussou-kouadio.
gso/kam
Il s’agira selon lui de se donner les moyens à travers l’intelligence artificielle d’établir des diagnostics médicaux « beaucoup plus précis et rapides », a indiqué le président du Sénat.
« Bien évidemment une attention toute particulière devrait être accordée au développement de la recherche et des sciences pharmaceutiques. A cette fin les implantations des industries pharmaceutiques sont à encourager par la prise de mesures incitatives d’ordre fiscal et administrative », a-t-il précisé.
Dans cette même veine le président de la deuxième chambre du parlement n’exclut pas la médecine traditionnelle dont la collaboration avec la médecine moderne devrait se renforcer.
L’exploration de ces nouvelles voies qui s’offrent aux décideurs de la Côte d’Ivoire ne doit cependant pas s’accommoder de fausses croyances et fausses informations dont la diffusion sème bien souvent la confusion au sein des populations.
« Je m’élèverais toujours contre ces fausses informations diffusées à dessein par des personnes mal intentionnées en cette période de crise sanitaire qui ont assurément accompagné et favorisé la propagation de cette pandémie à Abidjan », a fait savoir Ahoussou-kouadio.
gso/kam