Agboville - En prélude à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, le chef du département coopération et relation avec la Société civile du Conseil national des Droits de l’homme (CNDH), Konangui François, a appelé jeudi, les populations de l’Agneby-Tiassa, à une élection qui se tienne dans des conditions apaisées, dans le respect des droits de l’homme.
Konangui François qui intervenait dans le cadre d’une conférence organisée par la Commission régionale des Droits de l’Homme de l’Agneby-Tiassa, autour du thème : ‘’Cohésion sociale et culture de la paix en période électorale’’, a invité les différentes communautés à la culture de la paix, ou à faire en sorte qu’il n’y ait point de violation des droits humains tout au long du processus électoral.
Pour ce faire, il a exhorté le corps social, notamment la chefferie traditionnelle, les guides religieux et de communautés, les femmes et la jeunesse, à faire preuve de civisme et de bons comportements, en participant pleinement à toutes les étapes du processus électoral depuis l’enrôlement sur le fichier électoral aux résultats en passant par le devoir citoyen du vote, le jour du scrutin.
Car les élections a-t-il dit, ne devraient pas être des occasions ou des gens perdent la vie du fait de diverses formes de violences, mais des occasions qui favorisent le développement économique quand elles se tiennent dans un environ apaisé.
Quant aux porte-paroles des communautés, ils ont souhaité que l’Etat joue correctement son rôle d’arbitre et que les politiques toutes tendances confondues aient le bon ton et des discours favorisant un environnement électoral apaisé.
Le CNDH, a pour missions, la protection des Droits de l’Homme, la prévention et la promotion des Droits humains.
(AIP)
yy/ask
Konangui François qui intervenait dans le cadre d’une conférence organisée par la Commission régionale des Droits de l’Homme de l’Agneby-Tiassa, autour du thème : ‘’Cohésion sociale et culture de la paix en période électorale’’, a invité les différentes communautés à la culture de la paix, ou à faire en sorte qu’il n’y ait point de violation des droits humains tout au long du processus électoral.
Pour ce faire, il a exhorté le corps social, notamment la chefferie traditionnelle, les guides religieux et de communautés, les femmes et la jeunesse, à faire preuve de civisme et de bons comportements, en participant pleinement à toutes les étapes du processus électoral depuis l’enrôlement sur le fichier électoral aux résultats en passant par le devoir citoyen du vote, le jour du scrutin.
Car les élections a-t-il dit, ne devraient pas être des occasions ou des gens perdent la vie du fait de diverses formes de violences, mais des occasions qui favorisent le développement économique quand elles se tiennent dans un environ apaisé.
Quant aux porte-paroles des communautés, ils ont souhaité que l’Etat joue correctement son rôle d’arbitre et que les politiques toutes tendances confondues aient le bon ton et des discours favorisant un environnement électoral apaisé.
Le CNDH, a pour missions, la protection des Droits de l’Homme, la prévention et la promotion des Droits humains.
(AIP)
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