L’ancien chef de l’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo, souhaite l’organisation des élections apaisées en Côte d’Ivoire, un maillon essentiel du processus de réconciliation nationale, a indiqué, mardi, la vice-présidente du Front populaire ivoirien (FPI), Bamba Massany, lors d’une conférence de presse à Abidjan.
Il importe impérativement de reconnaître que la violence électorale met en péril la démocratie à laquelle le peuple de Côte d’Ivoire aspire profondément et légitimement, a déclaré Mme Bamba Massany, lors du lancement de « l’initiative pour des élections sans violence en Côte d’Ivoire » mise en place par Laurent Gbagbo.
Pour la vice-présidente du FPI, il importe, désormais, de travailler à intégrer un esprit de démocratie dans la société en œuvrant à la pacification du cœur des Ivoiriens, à briser toutes formes de stigmatisations et de querelles fratricides.
« Depuis 1995, les élections présidentielles sont marquées par des violences qui entraînent des pertes en vie humaine et de nombreux blessés avec pour point culminant l’élection de 2010 », a-t-elle souligné.
Mme Bamba et son équipe comptent mener une campagne de sensibilisation sur le bien-fondé de ce projet. Des rencontres avec des partis politiques, des associations, des groupes religieux, des leaders d’opinion, des femmes et des jeunes sont à cet effet prévues.
Au-delà des formes normatives et institutionnelles nécessaire à la tenue d’une élection présidentielle, l’esprit démocratique et le dialogue permanent doivent prévaloir, selon Mme Massany.
« Le moment semble venu pour exalter et sublimer cette valeur, qui est l’amour de notre pays, en mettant un terme aux attitudes et aux comportements qui alimentent la division entre les ivoiriens », a-t-elle affirmé.
(AIP)
Nmfa/kp
Il importe impérativement de reconnaître que la violence électorale met en péril la démocratie à laquelle le peuple de Côte d’Ivoire aspire profondément et légitimement, a déclaré Mme Bamba Massany, lors du lancement de « l’initiative pour des élections sans violence en Côte d’Ivoire » mise en place par Laurent Gbagbo.
Pour la vice-présidente du FPI, il importe, désormais, de travailler à intégrer un esprit de démocratie dans la société en œuvrant à la pacification du cœur des Ivoiriens, à briser toutes formes de stigmatisations et de querelles fratricides.
« Depuis 1995, les élections présidentielles sont marquées par des violences qui entraînent des pertes en vie humaine et de nombreux blessés avec pour point culminant l’élection de 2010 », a-t-elle souligné.
Mme Bamba et son équipe comptent mener une campagne de sensibilisation sur le bien-fondé de ce projet. Des rencontres avec des partis politiques, des associations, des groupes religieux, des leaders d’opinion, des femmes et des jeunes sont à cet effet prévues.
Au-delà des formes normatives et institutionnelles nécessaire à la tenue d’une élection présidentielle, l’esprit démocratique et le dialogue permanent doivent prévaloir, selon Mme Massany.
« Le moment semble venu pour exalter et sublimer cette valeur, qui est l’amour de notre pays, en mettant un terme aux attitudes et aux comportements qui alimentent la division entre les ivoiriens », a-t-elle affirmé.
(AIP)
Nmfa/kp