Le Ministre François Albert Amichia, Maire de la commune est sur le terrain.
Le mercredi 18 juin, bravant la fine pluie tombée de très bonne heure, il s’est, en sa qualité de premier gestionnaire de la commune, successivement rendu à l’Epp Avenue 2 à Biafra, à l’école Primaire Chicago et au collège Treich Laplène.
Dans ces établissements scolaires de Treichville, le Premier magistrat a trouvé des agents de la Commission électorale indépendante (Cei) à leurs postes en train de recevoir pour certains ou enregistrer pour d’autres des requérants sur la liste électorale.
Interrogés si leurs centres d’enrôlement sont pris d’assaut, depuis le début de l’opération, par les pétitionnaires, notamment les nouveaux majeurs, les agents commis par la commission en charge d’organiser les élections pour aider les Ivoiriens à s’enrôler sont tous formels : «Il n’y pas de grande affluence».
Loin de se laisser abattre par cet état de fait, le Ministre François A. Amichia a affirmé que sa démarche à travers ce tour dans des centres d’enrôlement, consistait justement à s’imprégner du niveau d’affluence.
« Depuis le 10 juin, la Cei a lancé l’opération de révision et d’inscription sur la liste électorale. Après avoir visité trois centres à Treichville, le constat est que l’affluence n’est pas celle que nous attendions. Ce qui veut dire que nous avons encore un travail de sensibilisation, d’information à faire passer pour que la semaine qui nous reste, c’est-à-dire jusqu’au 24 juin, puisse être mise à profit pour enrôler le maximum de nos concitoyens », a-t-il fait savoir.
En ce qui concerne le manque d’affluence constaté lors de cette tournée, les agents de la Cei rencontrés, imputent cette situation à la pluie diluvienne qui s’abat sur le pays. « L’opération se déroule bien. Mais la pluie nous gêne, ainsi que les requérants qui ne viennent que l’après-midi en ce sens qu’il pleut maintenant tous les matins», a expliqué Mehan Marthe, chef de centre au collège Treich Laplène de Treichville. Elle a confié que pour ce faire, depuis le début de l’opération, son équipe n’a pu enregistrer qu’une quarantaine de requérants. «Et la plupart de ceux qui viennent, c’est pour vérifier leur inscription sur la liste électorale», a-t-elle précisé.
Mauryth GBANE
J B AHOUTY
Le mercredi 18 juin, bravant la fine pluie tombée de très bonne heure, il s’est, en sa qualité de premier gestionnaire de la commune, successivement rendu à l’Epp Avenue 2 à Biafra, à l’école Primaire Chicago et au collège Treich Laplène.
Dans ces établissements scolaires de Treichville, le Premier magistrat a trouvé des agents de la Commission électorale indépendante (Cei) à leurs postes en train de recevoir pour certains ou enregistrer pour d’autres des requérants sur la liste électorale.
Interrogés si leurs centres d’enrôlement sont pris d’assaut, depuis le début de l’opération, par les pétitionnaires, notamment les nouveaux majeurs, les agents commis par la commission en charge d’organiser les élections pour aider les Ivoiriens à s’enrôler sont tous formels : «Il n’y pas de grande affluence».
Loin de se laisser abattre par cet état de fait, le Ministre François A. Amichia a affirmé que sa démarche à travers ce tour dans des centres d’enrôlement, consistait justement à s’imprégner du niveau d’affluence.
« Depuis le 10 juin, la Cei a lancé l’opération de révision et d’inscription sur la liste électorale. Après avoir visité trois centres à Treichville, le constat est que l’affluence n’est pas celle que nous attendions. Ce qui veut dire que nous avons encore un travail de sensibilisation, d’information à faire passer pour que la semaine qui nous reste, c’est-à-dire jusqu’au 24 juin, puisse être mise à profit pour enrôler le maximum de nos concitoyens », a-t-il fait savoir.
En ce qui concerne le manque d’affluence constaté lors de cette tournée, les agents de la Cei rencontrés, imputent cette situation à la pluie diluvienne qui s’abat sur le pays. « L’opération se déroule bien. Mais la pluie nous gêne, ainsi que les requérants qui ne viennent que l’après-midi en ce sens qu’il pleut maintenant tous les matins», a expliqué Mehan Marthe, chef de centre au collège Treich Laplène de Treichville. Elle a confié que pour ce faire, depuis le début de l’opération, son équipe n’a pu enregistrer qu’une quarantaine de requérants. «Et la plupart de ceux qui viennent, c’est pour vérifier leur inscription sur la liste électorale», a-t-elle précisé.
Mauryth GBANE
J B AHOUTY