Une attaque terroriste qui bouleverse l’Etat imaginaire de Dougoutiana. Un mandat d’arrêt international contre un journaliste pour complicité de terrorisme. Une accusation qui cache une affaire de mœurs au sommet de l’Etat. C’est le condensé de l’intrigue que propose l’Ivoirien Fidèle Goulyzia au jury de la 17è édition du prix Ahmadou Kourouma présidé par le professeur Jacques Chevrier.
Sorti fin octobre 2019 en France aux Editions Captiot, Tchapalo Tango, roman de 317 pages, est le tout premier de l’auteur. L’œuvre évoque la liberté de la presse dans un contexte de mal gouvernance que l’auteur désigne sous le néologisme de « tchapalocratie » ou le syndrome de l’ivresse du pouvoir.
Depuis 2004, le prix Ahmadou Kourouma récompense chaque année un auteur d’expression française, africain ou d’origine africaine de l’Afrique subsaharienne, pour un ouvrage de fiction qui s’inscrit dans l’héritage littéraire légué par le romancier ivoirien.
Seize ouvrages sont en lice. La plume naissante de Fidèle Goulyzia se frottera à des plumes assermentées de la littérature africaine d’expression francophone comme Fatou Diome, Abdourahman Waberi, Hemley Boum ou encore Leonora Miano.
Ancien journaliste reporter, Fidèle Goulyzia a fait ses armes à Alerte Info en Côte d’Ivoire, à LC2 Télévision au Bénin et à Afrikatv où il a conforté son expérience de terrain dans plusieurs pays d’Afrique centrale. En 2017, il a reçu à Casablanca le prix de l’année de la Fondation Mohammed VI pour l’environnement avec son reportage sur un village malien électrifié à l’hydrogène naturel. L’auteur ivoirien prépare à l’université de Cocody une thèse de 3è cycle en droit international humanitaire.
Le prix Ahmadou Kourouma sera remis lors du Salon de Genève qui pour les raisons sanitaires liées à la COVID19 sera organisé sur plusieurs sites de la ville du 28 octobre au 1er novembre prochain.
DA et sercom
Sorti fin octobre 2019 en France aux Editions Captiot, Tchapalo Tango, roman de 317 pages, est le tout premier de l’auteur. L’œuvre évoque la liberté de la presse dans un contexte de mal gouvernance que l’auteur désigne sous le néologisme de « tchapalocratie » ou le syndrome de l’ivresse du pouvoir.
Depuis 2004, le prix Ahmadou Kourouma récompense chaque année un auteur d’expression française, africain ou d’origine africaine de l’Afrique subsaharienne, pour un ouvrage de fiction qui s’inscrit dans l’héritage littéraire légué par le romancier ivoirien.
Seize ouvrages sont en lice. La plume naissante de Fidèle Goulyzia se frottera à des plumes assermentées de la littérature africaine d’expression francophone comme Fatou Diome, Abdourahman Waberi, Hemley Boum ou encore Leonora Miano.
Ancien journaliste reporter, Fidèle Goulyzia a fait ses armes à Alerte Info en Côte d’Ivoire, à LC2 Télévision au Bénin et à Afrikatv où il a conforté son expérience de terrain dans plusieurs pays d’Afrique centrale. En 2017, il a reçu à Casablanca le prix de l’année de la Fondation Mohammed VI pour l’environnement avec son reportage sur un village malien électrifié à l’hydrogène naturel. L’auteur ivoirien prépare à l’université de Cocody une thèse de 3è cycle en droit international humanitaire.
Le prix Ahmadou Kourouma sera remis lors du Salon de Genève qui pour les raisons sanitaires liées à la COVID19 sera organisé sur plusieurs sites de la ville du 28 octobre au 1er novembre prochain.
DA et sercom
