Abidjan, Le site de l’abattoir de Port-Bouët (Abidjan Sud) est devenu très exigu encore cette année pour accueillir les béliers et bœufs pour la fête de Tabaski prévue vendredi, a constaté l'AIP.
Les commerçants venus des pays frontaliers sont obligés de déverser leurs bêtes devant des habitations de la commune faisant face à l’abattoir et sur tout le prolongement du chemin de fer. En plus, plusieurs camions sont en attente de décharger leur contenu et quand l'on apprend que d’autres sont en route.
”Depuis mardi, nous sommes dans cette situation. Nous sommes obligés de partager les cours avec les habitants. Cela nous revient cher car il faut prendre beaucoup de personnes pour surveiller les animaux avec nous par le manque d’enclos et ce sont des bœufs”, déplore Ousmane Diakité.
Des scènes de course poursuite entre bœuf et berger sont régulièrement observées sur le site, entraînant des paniques au sein des riverains.
Depuis le carrefour Akwaba jusqu’au le prolongement de tout l’abattoir, des troupeaux de moutons et bœufs sont visibles de part et d’autre de la voie principale.
Le directeur des abattoirs et de l'hygiène alimentaire, Dagnogo Komissiri, a confié mercredi, lors d’un entretien avec l’AIP que plus de 100 mille moutons et 12.000 bœufs sont déjà disponibles pour le district d’Abidjan sur un objectif total de 125.000 ovins.
(AIP)
bsp/fmo
Les commerçants venus des pays frontaliers sont obligés de déverser leurs bêtes devant des habitations de la commune faisant face à l’abattoir et sur tout le prolongement du chemin de fer. En plus, plusieurs camions sont en attente de décharger leur contenu et quand l'on apprend que d’autres sont en route.
”Depuis mardi, nous sommes dans cette situation. Nous sommes obligés de partager les cours avec les habitants. Cela nous revient cher car il faut prendre beaucoup de personnes pour surveiller les animaux avec nous par le manque d’enclos et ce sont des bœufs”, déplore Ousmane Diakité.
Des scènes de course poursuite entre bœuf et berger sont régulièrement observées sur le site, entraînant des paniques au sein des riverains.
Depuis le carrefour Akwaba jusqu’au le prolongement de tout l’abattoir, des troupeaux de moutons et bœufs sont visibles de part et d’autre de la voie principale.
Le directeur des abattoirs et de l'hygiène alimentaire, Dagnogo Komissiri, a confié mercredi, lors d’un entretien avec l’AIP que plus de 100 mille moutons et 12.000 bœufs sont déjà disponibles pour le district d’Abidjan sur un objectif total de 125.000 ovins.
(AIP)
bsp/fmo