Abidjan- L’homme de culture Pr Urbain Amoa a décidé d’aller en indépendant à la prochaine élection présidentielle d’octobre 2020 pour assurer le bien être de ses concitoyens dans la paix et la solidarité.
« Nous avons décidé d’aller en indépendant parce que la vision que nous donnons à notre candidature à la présidentielle est une vision de paix et de solidarité pour une dynamique de création et de partage équitable des richesses à tout âge », a déclaré Pr Urbain Amoa, lors d’une conférence de presse animée lundi 03 août 2020, à Abidjan.
Le candidat déclaré à la présidentielle n’a pas voulu se donner une coloration politique parce qu’il veut échapper à « la dictature des partis politiques ».
« Je n’ai pas cru bon d’aller dans un parti politique parce que je suis non seulement indépendant mais je suis même solitaire et en plus j’ai une attitude de David face à plusieurs Goliath. En réalité, j’ose pour faire entendre ma voix, pour faire entendre la voix des sans voix », a expliqué le directeur scientifique de la cité des reines et des rois, Pr Urbain Amoa.
Pour lui, « gérer un pays, ce n’est pas que l’affaire des partis politiques. C’est plutôt l’affaire des fils de la nation, de la société civile, des leaders d’opinions dont moi, voilà pourquoi je suis candidat à la présidentielle d’octobre 2020 ».
Dans l’optique de voir une « Côte d’Ivoire une, laïque et indivisible, qui ose et qui gagne, marquée par la recherche permanente du consensus », le candidat Urbain Amoa compte sur la participation communautaire collective.
L’ex-recteur de l’université Charles Louis Montesquieu a débuté depuis les années 90 son militantisme politique au Parti ivoirien des travailleurs (PIT) où il a occupé le poste de secrétaire national à l’organisation sous la houlette de Professeur Francis Wodié et candidat aux élections législatives en 1995.
Sorti de ce parti politique, il s’est engagé le terrain universitaire et le terrain culturel. Depuis lors, Pr Urbain Amoa a décidé d’être un cavalier solitaire en tant que leader d’opinion et un homme de culture qui œuvre pour la paix et la cohésion sociale à travers la promotion des alliances interculturelles et l’Administration centrale et régionale basée sur les systèmes de gouvernance traditionnelle.
tg/aaa/tm
« Nous avons décidé d’aller en indépendant parce que la vision que nous donnons à notre candidature à la présidentielle est une vision de paix et de solidarité pour une dynamique de création et de partage équitable des richesses à tout âge », a déclaré Pr Urbain Amoa, lors d’une conférence de presse animée lundi 03 août 2020, à Abidjan.
Le candidat déclaré à la présidentielle n’a pas voulu se donner une coloration politique parce qu’il veut échapper à « la dictature des partis politiques ».
« Je n’ai pas cru bon d’aller dans un parti politique parce que je suis non seulement indépendant mais je suis même solitaire et en plus j’ai une attitude de David face à plusieurs Goliath. En réalité, j’ose pour faire entendre ma voix, pour faire entendre la voix des sans voix », a expliqué le directeur scientifique de la cité des reines et des rois, Pr Urbain Amoa.
Pour lui, « gérer un pays, ce n’est pas que l’affaire des partis politiques. C’est plutôt l’affaire des fils de la nation, de la société civile, des leaders d’opinions dont moi, voilà pourquoi je suis candidat à la présidentielle d’octobre 2020 ».
Dans l’optique de voir une « Côte d’Ivoire une, laïque et indivisible, qui ose et qui gagne, marquée par la recherche permanente du consensus », le candidat Urbain Amoa compte sur la participation communautaire collective.
L’ex-recteur de l’université Charles Louis Montesquieu a débuté depuis les années 90 son militantisme politique au Parti ivoirien des travailleurs (PIT) où il a occupé le poste de secrétaire national à l’organisation sous la houlette de Professeur Francis Wodié et candidat aux élections législatives en 1995.
Sorti de ce parti politique, il s’est engagé le terrain universitaire et le terrain culturel. Depuis lors, Pr Urbain Amoa a décidé d’être un cavalier solitaire en tant que leader d’opinion et un homme de culture qui œuvre pour la paix et la cohésion sociale à travers la promotion des alliances interculturelles et l’Administration centrale et régionale basée sur les systèmes de gouvernance traditionnelle.
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