Invité de Konnie dans “Le confessionnal”, sur Life Tv, A’Salfo s’est exprimé sur des sujets qui l’ont marqué et des faits qui l’impliquent. L’un de ces sujets est la supposée brouille qu’il y aurait eue entre Bailly Spinto et lui. En effet, selon certaines sources, Bailly Spinto, dans une interview, aurait manifesté son mécontentement à l’égard d’A’Salfo qui se serait foutu de lui lors du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (Femua). « De la signature de son contrat à sa prestation, jusqu’à son départ, on ne s’est jamais rencontré. D’où sort cette histoire ? Je ne le sais pas. On me dit que c’est dans une interview du grand frère. Si quelque chose l’a choqué, je lui présente mes excuses. Mais, dire que je lui ai manqué du respect… », a expliqué A’Salfo. Selon lui, il n’y a pas eu de contact avec Bailly. « J’ai tellement honte de la personne que pour signer son contrat j’ai refusé d’être en face de lui. Je me voyais très mal placé pour aller discuter avec lui et lui demander ce qu’il veut. Et Bailly Spinto est venu jouer au Femua sans que lui et moi, on se croise. De la signature du contrat, jusqu’à son départ en passant par sa prestation. Et venir entendre aujourd’hui une histoire à dormir debout, venir dire que j’ai eu une engueulade avec lui, c’est quelque chose qui m’a blessé. Mais on ne peut pas taper à la porte de tout le monde pour donner sa version. Il n’y a jamais eu d’altercation entre Bailly Spinto et moi. On ne s’est jamais croisé pour discuter de quoi que ce soit. Il y a eu un couac entre son staff et mon staff, que je n’expliquerai pas ici. Mais il n’y a rien eu entre Bailly Spinto et moi », explique-t-il.
Autre sujet abordé par le leader de Magic System, les accusations selon lesquelles le groupe n’aide pas les autres artistes Zouglou à intégrer les grandes maisons de disques occidentales. Sur cette question, A’Salfo s’est voulu clair. « J’ai commencé à me poser des questions de savoir si c’est moi qui interprète mal la vie des gens ou si c’est eux qui comprennent mal ce qui se passe dans le showbiz. Ce sont des questions que je me suis toujours posées. On ne peut pas bloquer quelqu’un. Autant on ne peut pas bloquer quelqu’un, autant on ne peut pas imposer quelqu’un. Le showbiz, c’est du commerce. Les gens investissent là où ils tirent des bénéfices », a-t-il indiqué.
Par ailleurs, il y a 5 mois, le chanteur était impliqué dans ce que certains ont appelé le scandale de l’Injs. En effet, au plus fort de la crise sanitaire liée au coronavirus, des personnalités ivoiriennes arrivées de France ont refusé que leurs proches soient conduits dans le centre de mise en quarantaine. Des mois plus tard, ce sont des regrets que l’homme nourrit « Peut-être que j’ai laissé jouer mon instinct paternel. Je l’ai regretté, ce n’était pas quelque chose à faire. Je l’ai regretté. Si c’était quelque chose à refaire, je ne le referai pas », fait-il savoir.
EUSTACHE GNABA
Autre sujet abordé par le leader de Magic System, les accusations selon lesquelles le groupe n’aide pas les autres artistes Zouglou à intégrer les grandes maisons de disques occidentales. Sur cette question, A’Salfo s’est voulu clair. « J’ai commencé à me poser des questions de savoir si c’est moi qui interprète mal la vie des gens ou si c’est eux qui comprennent mal ce qui se passe dans le showbiz. Ce sont des questions que je me suis toujours posées. On ne peut pas bloquer quelqu’un. Autant on ne peut pas bloquer quelqu’un, autant on ne peut pas imposer quelqu’un. Le showbiz, c’est du commerce. Les gens investissent là où ils tirent des bénéfices », a-t-il indiqué.
Par ailleurs, il y a 5 mois, le chanteur était impliqué dans ce que certains ont appelé le scandale de l’Injs. En effet, au plus fort de la crise sanitaire liée au coronavirus, des personnalités ivoiriennes arrivées de France ont refusé que leurs proches soient conduits dans le centre de mise en quarantaine. Des mois plus tard, ce sont des regrets que l’homme nourrit « Peut-être que j’ai laissé jouer mon instinct paternel. Je l’ai regretté, ce n’était pas quelque chose à faire. Je l’ai regretté. Si c’était quelque chose à refaire, je ne le referai pas », fait-il savoir.
EUSTACHE GNABA