Yamoussoukro – Considéré comme une des principales attractions touristiques de la ville de Yamoussoukro, le lac aux caïmans qui jadis refusait du monde à la période de la célébration de la fête nationale de la Côte d’Ivoire n’a plus le même attrait.
A l’époque, se souvient le premier photographe de l’AIP, Honoré Koblavi, « visiter le lac et offrir à manger aux caïmans était une étape que presque tout le monde inscrivait à son agenda de la fête notamment pour les enfants ».
L’arrivée des foules de fêtards vêtus de leurs plus beaux habits, de tous ces gamins éblouis par la présence et les prouesses des bêtes et de leurs maîtres faisaient partie du décor de l’indépendance à Yamoussoukro.
« Maintenant cela fait partie du passé parce que le lac est comme à l’abandon depuis plusieurs années », affirme Honoré Koblavi.
Le ministre-gouverneur de Yamoussoukro, Augustin Thiam, a annoncé pour sa part le lundi 3 août 2020 qu’en attendant la mise en œuvre d’un plan stratégique de développement de Yamoussoukro pour les 15 prochaines années, un plan triennal du district autonome prévoit la réhabilitation de certains sites et infrastructures dont les lacs de la ville.
« Nous avons entrepris de nettoyer les lacs de Yamoussoukro, les débarrasser de toutes leurs laitues. L’usine qui va faire cela a été construite et nous allons produire de l’engrais, de l’énergie électrique », a-t-il déclaré.
En attendant ces lendemains qui chantent, le lac créé dans les années 50 n’est plus que l’ombre de lui-même après avoir subi plusieurs coups durs dont la disparition de son inspirateur, son Excellence Félix Houphouet-boigny en 1993 et la mort tragique de l’emblématique gardien des lieux , le vieux Dicko en 2012.
gso/tm
A l’époque, se souvient le premier photographe de l’AIP, Honoré Koblavi, « visiter le lac et offrir à manger aux caïmans était une étape que presque tout le monde inscrivait à son agenda de la fête notamment pour les enfants ».
L’arrivée des foules de fêtards vêtus de leurs plus beaux habits, de tous ces gamins éblouis par la présence et les prouesses des bêtes et de leurs maîtres faisaient partie du décor de l’indépendance à Yamoussoukro.
« Maintenant cela fait partie du passé parce que le lac est comme à l’abandon depuis plusieurs années », affirme Honoré Koblavi.
Le ministre-gouverneur de Yamoussoukro, Augustin Thiam, a annoncé pour sa part le lundi 3 août 2020 qu’en attendant la mise en œuvre d’un plan stratégique de développement de Yamoussoukro pour les 15 prochaines années, un plan triennal du district autonome prévoit la réhabilitation de certains sites et infrastructures dont les lacs de la ville.
« Nous avons entrepris de nettoyer les lacs de Yamoussoukro, les débarrasser de toutes leurs laitues. L’usine qui va faire cela a été construite et nous allons produire de l’engrais, de l’énergie électrique », a-t-il déclaré.
En attendant ces lendemains qui chantent, le lac créé dans les années 50 n’est plus que l’ombre de lui-même après avoir subi plusieurs coups durs dont la disparition de son inspirateur, son Excellence Félix Houphouet-boigny en 1993 et la mort tragique de l’emblématique gardien des lieux , le vieux Dicko en 2012.
gso/tm