Les femmes de l’opposition unies dans la plateforme CDRP sont montées au créneau pour faire savoir leur décision de prendre part à la marche de l'opposition demain jeudi 13 août 2020, au cours d'une conférence de presse ce mercredi 12 août 2020 au siège du PDCI sis à Cocody.
A tour de rôle les femmes leaders issues du FPI,PDCI,GPS,COJEP,URD se sont exprimé pour non seulement manifester leur désaccord avec la candidature du président Ouattara, mais aussi et surtout pour annoncer qu'elles prendront part à la marche de protestation contre cette 3e candidature de Ouattara.
Anne Marie Bonifon présidente du GPS a planché sur la question de rétablissement de l'ex président Laurent Gbagbo , l'ancien président de l'ancien président de l'assemblée nationale Guillaume Soro, Charles Blé Goudé et Akossi Bendjo sur la liste électorale pour une élection juste transparente apaisée et surtout inclusive. Dans la même dynamique Amoikon Solange de AIRD , au nom du ministre Eric Kahé a exigé le retour des exilés politiques en Côte d'Ivoire. « La Côte d'Ivoire a besoin de réconciliation dans un climat de solidarité pour étancher la soif de démocratie des Ivoiriens ». a- t -elle lancé
Mariam Olemou au nom de « la voix du peuple » a dit ne pas comprendre la candidature de Ouattara quand une constitution pour laquelle lui-même a battu campagne et voté indique qu'un président est élu pour un mandat de 5 ans renouvelable une seule fois.
A en croire Mariame, les 10 ans du président Ouattara sont terminées « il doit libérer le tabouret ».
La présidente de l'URD Youssan Geneviève rappellera le souvenir de la marche des femmes à grand Bassam en décembre 1949 pour libérer leurs homme. Selon elle, il faut revivre cette situation pour libérer la Côte d’Ivoire. C'est pourquoi elle invite toutes les femmes qui ont de la sympathie pour leur cause à se joindre à la marche que prévoit les jeunes de l'opposition.
A l'instar de d'autres femmes leaders en l'occurrence Doumbia Salimata et Sita Coulibaly du PDCI, Odette Lorougnon secrétaire nationale, vice-présidente du FPI a tenu le public en haleine avec le ton déterminant de son propos.
La vice-présidente a fait savoir qu’un 3e mandat de monsieur Ouattara était de trop pour la Côte d’Ivoire. « Nous sommes décidées à libérer notre pays », a – t – elle martelé avant d’inviter les chefs traditionnels et l’armée à demeurer impartiaux et défenseurs du peuple dans le débat politique .
MC
A tour de rôle les femmes leaders issues du FPI,PDCI,GPS,COJEP,URD se sont exprimé pour non seulement manifester leur désaccord avec la candidature du président Ouattara, mais aussi et surtout pour annoncer qu'elles prendront part à la marche de protestation contre cette 3e candidature de Ouattara.
Anne Marie Bonifon présidente du GPS a planché sur la question de rétablissement de l'ex président Laurent Gbagbo , l'ancien président de l'ancien président de l'assemblée nationale Guillaume Soro, Charles Blé Goudé et Akossi Bendjo sur la liste électorale pour une élection juste transparente apaisée et surtout inclusive. Dans la même dynamique Amoikon Solange de AIRD , au nom du ministre Eric Kahé a exigé le retour des exilés politiques en Côte d'Ivoire. « La Côte d'Ivoire a besoin de réconciliation dans un climat de solidarité pour étancher la soif de démocratie des Ivoiriens ». a- t -elle lancé
Mariam Olemou au nom de « la voix du peuple » a dit ne pas comprendre la candidature de Ouattara quand une constitution pour laquelle lui-même a battu campagne et voté indique qu'un président est élu pour un mandat de 5 ans renouvelable une seule fois.
A en croire Mariame, les 10 ans du président Ouattara sont terminées « il doit libérer le tabouret ».
La présidente de l'URD Youssan Geneviève rappellera le souvenir de la marche des femmes à grand Bassam en décembre 1949 pour libérer leurs homme. Selon elle, il faut revivre cette situation pour libérer la Côte d’Ivoire. C'est pourquoi elle invite toutes les femmes qui ont de la sympathie pour leur cause à se joindre à la marche que prévoit les jeunes de l'opposition.
A l'instar de d'autres femmes leaders en l'occurrence Doumbia Salimata et Sita Coulibaly du PDCI, Odette Lorougnon secrétaire nationale, vice-présidente du FPI a tenu le public en haleine avec le ton déterminant de son propos.
La vice-présidente a fait savoir qu’un 3e mandat de monsieur Ouattara était de trop pour la Côte d’Ivoire. « Nous sommes décidées à libérer notre pays », a – t – elle martelé avant d’inviter les chefs traditionnels et l’armée à demeurer impartiaux et défenseurs du peuple dans le débat politique .
MC