Abidjan - Le représentant résident du PNUD en Côte d’Ivoire, Carol Flore-Smereczniak, appelle également les populations ivoiriennes à la cohésion sociale et à l’apaisement en privilégiant le dialogue.
« Je voudrais, au nom des agences du système des Nations Unies ici présentes, m’associer aux appels à la cohésion sociale et à l’apaisement lancés ces derniers jours par des leaders communautaires et religieux, afin de réduire les tensions et privilégier le dialogue », a exprimé la représentante résidente du PNUD en Côte d’Ivoire, Carol Flore-Smereczniak, lors d’un atelier tenu, le mercredi 19 août 2020, à Abidjan.
Selon elle, l’implication active des jeunes hommes et femmes dans la prévention des conflits socio-politique serait d’une grande pertinence pour un climat de paix. « Car, depuis le début de l’année 2020, des activités pertinentes et innovantes ont été menées à travers le fonds de consolidation de la paix des nations unies-PBF. Lesquelles activités visent à faire des jeunes hommes et femmes de la Côte d’Ivoire, des moteurs de la prévention des discours de haine », a-t-elle justifié.
Cet atelier s’est articulé autour de trois thématiques à savoir la liberté d’expression et discours de haine. Il a regroupé une cinquantaine de participants issus de la commission électorale indépendante (CEI), du gouvernement, des organisations politiques, des organisations de la société civile, des médias et des agences du système des nations unies y compris les jeunes et les femmes.
La Côte d’Ivoire a été récemment le théâtre de violentes manifestations à l’appel de l’opposition qui protestait contre un troisième mandat du président Alassane Ouattara.
ano/fmo
« Je voudrais, au nom des agences du système des Nations Unies ici présentes, m’associer aux appels à la cohésion sociale et à l’apaisement lancés ces derniers jours par des leaders communautaires et religieux, afin de réduire les tensions et privilégier le dialogue », a exprimé la représentante résidente du PNUD en Côte d’Ivoire, Carol Flore-Smereczniak, lors d’un atelier tenu, le mercredi 19 août 2020, à Abidjan.
Selon elle, l’implication active des jeunes hommes et femmes dans la prévention des conflits socio-politique serait d’une grande pertinence pour un climat de paix. « Car, depuis le début de l’année 2020, des activités pertinentes et innovantes ont été menées à travers le fonds de consolidation de la paix des nations unies-PBF. Lesquelles activités visent à faire des jeunes hommes et femmes de la Côte d’Ivoire, des moteurs de la prévention des discours de haine », a-t-elle justifié.
Cet atelier s’est articulé autour de trois thématiques à savoir la liberté d’expression et discours de haine. Il a regroupé une cinquantaine de participants issus de la commission électorale indépendante (CEI), du gouvernement, des organisations politiques, des organisations de la société civile, des médias et des agences du système des nations unies y compris les jeunes et les femmes.
La Côte d’Ivoire a été récemment le théâtre de violentes manifestations à l’appel de l’opposition qui protestait contre un troisième mandat du président Alassane Ouattara.
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