Une semaine après les violences qui ont fait sept morts les 21 et 22 août, le calme est revenu à Divo. Mais rien n’est vraiment réglé. Reportage.
Famoussa Coulibaly grimpe dans son véhicule à la hâte. Le député de Divo (centre-ouest) doit se rendre à une nouvelle réunion de conciliation dans une cour commune de Bada, un des quartiers historiques de la ville. Il est en retard et ça ne le rassure pas. « Bada est un point chaud. Les gens sont en colère. Alors vous comprenez, être en retard ce n’est pas l’idéal », explique cet homme de 44 ans, au ton mesuré et à la barbe drue, élu en 2016 sous la bannière de l’Union pour la démocratie et la paix (UDPCI, d’Albert Mabri Toikeusse) et aujourd’hui membre du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie... suite de l'article sur Jeune Afrique
Famoussa Coulibaly grimpe dans son véhicule à la hâte. Le député de Divo (centre-ouest) doit se rendre à une nouvelle réunion de conciliation dans une cour commune de Bada, un des quartiers historiques de la ville. Il est en retard et ça ne le rassure pas. « Bada est un point chaud. Les gens sont en colère. Alors vous comprenez, être en retard ce n’est pas l’idéal », explique cet homme de 44 ans, au ton mesuré et à la barbe drue, élu en 2016 sous la bannière de l’Union pour la démocratie et la paix (UDPCI, d’Albert Mabri Toikeusse) et aujourd’hui membre du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie... suite de l'article sur Jeune Afrique