Koukougnon Christ plus connu sous le nom de Johnny Patcheko, cyber-activiste et président du Mouvement Progressiste Africain (MPA) a officiellement présenté ce mardi 08 septembre 2020 ses excuses au Président Alassane Ouattara et aux membres du Gouvernement pour ses "nombreux propos déplacés" qu'il a proférés depuis les réseaux sociaux.
« J’aimerais ici présenter mes excuses au président Ouattara, à la ministre Kandia Camara et aux autres membres du gouvernement pour tous les propos déplacés que j’ai eu à tenir pendant que j'étais à la tête d’un mouvement politique proche du FPI contre le régime » a-t-il déclaré.
Selon lui, la Côte d'Ivoire est engagée dans un processus de paix et de réconciliation envers tous; c'est pourquoi, comme tout enfant sage qui une fois après avoir offensé ses parents revient vers eux pour présenter ses excuses.
Johnny Patcheko a donc décidé de reconnaître son tort: " J’ai tenu dira-t-il, à le faire de manière officielle. Par moments sur les réseaux sociaux, nous avons eu à dire des choses méchantes, des choses pas normales au président de la République » a-t-il avoué avant d'indiquer qu'il était important pour lui qu'il fasse son mea-culpa en Côte d’Ivoire même si cela avait déjà été fait sur les réseaux sociaux.
« J'aimerais dire à tous ceux que mes propos ont blessé que je suis votre fils, je suis votre frère, apprenez-moi à faire la politique avec civilité, avec civisme », a souhaité Johnny Patcheko.
En ce qui concerne ses rapports avec le FPI, dont il était proche, Patcheko est très clair : « C’est moi qui ai positionné Laurent Gbagbo sur les réseaux sociaux. Aujourd’hui Laurent Gbagbo et sa famille politique m’ont fait tant de mal. Nous faisons la politique pour que les choses changent dans ce pays, et j’ai décidé de suivre le président Ouattara parce que contrairement à ce qu’on pensait hier de lui, il était loin de ces choses » a-t-il assuré en invitant tous les Ivoiriens à ouvrir les yeux. Par ailleurs, il dit se mettre à la disposition du RHDP : « si le RHDP a besoin de moi et qu'il veut m’envoyer en mission, mes camarades et moi, c'est volontiers que nous le ferons.»
Poursuivant, il soutient que les autres partis politiques n'ont pas de bilan à faire, car « ils n'ont que des souvenirs contrairement à tout ce que le président Alassane a réalisé en Côte d’Ivoire. »
« C'est au vu de tout ce que je vois que le président Ouattara a réalisé et continue de faire que j'ai décidé de le suivre », a-t-il martelé.
P. R.
« J’aimerais ici présenter mes excuses au président Ouattara, à la ministre Kandia Camara et aux autres membres du gouvernement pour tous les propos déplacés que j’ai eu à tenir pendant que j'étais à la tête d’un mouvement politique proche du FPI contre le régime » a-t-il déclaré.
Selon lui, la Côte d'Ivoire est engagée dans un processus de paix et de réconciliation envers tous; c'est pourquoi, comme tout enfant sage qui une fois après avoir offensé ses parents revient vers eux pour présenter ses excuses.
Johnny Patcheko a donc décidé de reconnaître son tort: " J’ai tenu dira-t-il, à le faire de manière officielle. Par moments sur les réseaux sociaux, nous avons eu à dire des choses méchantes, des choses pas normales au président de la République » a-t-il avoué avant d'indiquer qu'il était important pour lui qu'il fasse son mea-culpa en Côte d’Ivoire même si cela avait déjà été fait sur les réseaux sociaux.
« J'aimerais dire à tous ceux que mes propos ont blessé que je suis votre fils, je suis votre frère, apprenez-moi à faire la politique avec civilité, avec civisme », a souhaité Johnny Patcheko.
En ce qui concerne ses rapports avec le FPI, dont il était proche, Patcheko est très clair : « C’est moi qui ai positionné Laurent Gbagbo sur les réseaux sociaux. Aujourd’hui Laurent Gbagbo et sa famille politique m’ont fait tant de mal. Nous faisons la politique pour que les choses changent dans ce pays, et j’ai décidé de suivre le président Ouattara parce que contrairement à ce qu’on pensait hier de lui, il était loin de ces choses » a-t-il assuré en invitant tous les Ivoiriens à ouvrir les yeux. Par ailleurs, il dit se mettre à la disposition du RHDP : « si le RHDP a besoin de moi et qu'il veut m’envoyer en mission, mes camarades et moi, c'est volontiers que nous le ferons.»
Poursuivant, il soutient que les autres partis politiques n'ont pas de bilan à faire, car « ils n'ont que des souvenirs contrairement à tout ce que le président Alassane a réalisé en Côte d’Ivoire. »
« C'est au vu de tout ce que je vois que le président Ouattara a réalisé et continue de faire que j'ai décidé de le suivre », a-t-il martelé.
P. R.