Alors que le Conseil constitutionnel doit valider prochainement la liste des candidatures à la présidentielle ivoirienne du 31 octobre prochain, les avocats de Guillaume Soro ont déposé cette semaine trois requêtes.
Première rêquete devant le Conseil constitutionnel : l’annulation de la candidature d’Alassane Ouattara. La deuxième porte sur l’inconstitutionnalité du scrutin puisque selon ses avocats, la loi électorale aurait dû être votée au Parlement. Enfin la troisième concerne la candidature de Guillaume Soro, l'ancien chef rebelle et ex-Premier ministre exilé en France.
« Il y a une décision de la Cour africaine des droits de l’homme qui est intervenue en date du 22 avril, rappelle maître Affoussiata Bamba-Lamine, l'avocate de Guillaume Soro. Cette décision est très claire, elle dit la chose suivante : premièrement, monsieur Guillaume Kigbafori Soro, le concernant, toute poursuite judiciaire doit être gelée ; deuxièmement, le mandat d’arrêt contre lui doit être suspendu ; troisièmement, tous ses proches qui ont été maintenus en détention depuis le 23 janvier 2019 doivent être libérés ; et enfin, l’État a 30 jours pour exécuter la décision à partir du moment où la décision lui a été signifiée. »
« On est complètement dans nos droits »
Première rêquete devant le Conseil constitutionnel : l’annulation de la candidature d’Alassane Ouattara. La deuxième porte sur l’inconstitutionnalité du scrutin puisque selon ses avocats, la loi électorale aurait dû être votée au Parlement. Enfin la troisième concerne la candidature de Guillaume Soro, l'ancien chef rebelle et ex-Premier ministre exilé en France.
« Il y a une décision de la Cour africaine des droits de l’homme qui est intervenue en date du 22 avril, rappelle maître Affoussiata Bamba-Lamine, l'avocate de Guillaume Soro. Cette décision est très claire, elle dit la chose suivante : premièrement, monsieur Guillaume Kigbafori Soro, le concernant, toute poursuite judiciaire doit être gelée ; deuxièmement, le mandat d’arrêt contre lui doit être suspendu ; troisièmement, tous ses proches qui ont été maintenus en détention depuis le 23 janvier 2019 doivent être libérés ; et enfin, l’État a 30 jours pour exécuter la décision à partir du moment où la décision lui a été signifiée. »
« On est complètement dans nos droits »