L’ahoco, instrument de musique traditionnelle Ivoirien, essai de notation d’une approche musicale et linguistique pour un développement durable, c’est ce thème que l’impétrant N’guessan Gnehoua Jean Claude a soutenu aujourd’hui jeudi 16 septembre 2020 à L’Institut national supérieur des arts et de l’action culturelle (INSAAC).A l’issue de cette soutenance Jean Claude lui-même professeur de musique à l’INSAAC a été déclaré Docteur avec la mention très honorable.
Jean Claude est revenu sur les raisons du choix de ce thème en rapport avec ce instrument de musique traditionnelle originaire du centre de la Côte d’Ivoire que l’on retrouve couramment principalement chez le peuple Akan.
A en croire l’impétrant, la pratique de l’ahoco est orale et cela implique même son enseignement qui se fait de bouche à oreille alors que selon lui seul l’écrit peut garantir la pérennité d’où l’intérêt qu’il porte à ce thème en tant que professeur de technique de transmission et de pratique instrumental.
Jean claude évoquera une « raison scientifique » du choix de thème « il s’agit d’intégrer l’ahoco dans la world music en lui donnant un système de notation de manière à l’associer aux pratiques musicales mondiales », a-t-il fait savoir avant de citer une dernière raison qui consiste à faire ressortir toutes les possibilités musicales de cet instrument en mettant en avant toutes les opportunités sonores incluses dans l’ahoco.
Suite à d’autres aspects du thème sur lesquels l’impétrant s’est planché, le jury a apporté des critiques sur de ce travail de recherche qui aura duré deux décennies avant d’octroyer à l’unanimité la mention très honorable à M. N’guessan Gnehoua Jean Claude désormais Dr Jean claude, sous le regard admiratif des siens dont on attendait que tonnerres d’applaudissement.
DA
Jean Claude est revenu sur les raisons du choix de ce thème en rapport avec ce instrument de musique traditionnelle originaire du centre de la Côte d’Ivoire que l’on retrouve couramment principalement chez le peuple Akan.
A en croire l’impétrant, la pratique de l’ahoco est orale et cela implique même son enseignement qui se fait de bouche à oreille alors que selon lui seul l’écrit peut garantir la pérennité d’où l’intérêt qu’il porte à ce thème en tant que professeur de technique de transmission et de pratique instrumental.
Jean claude évoquera une « raison scientifique » du choix de thème « il s’agit d’intégrer l’ahoco dans la world music en lui donnant un système de notation de manière à l’associer aux pratiques musicales mondiales », a-t-il fait savoir avant de citer une dernière raison qui consiste à faire ressortir toutes les possibilités musicales de cet instrument en mettant en avant toutes les opportunités sonores incluses dans l’ahoco.
Suite à d’autres aspects du thème sur lesquels l’impétrant s’est planché, le jury a apporté des critiques sur de ce travail de recherche qui aura duré deux décennies avant d’octroyer à l’unanimité la mention très honorable à M. N’guessan Gnehoua Jean Claude désormais Dr Jean claude, sous le regard admiratif des siens dont on attendait que tonnerres d’applaudissement.
DA
