Agboville – En marge de l’atelier de renforcement des capacités des associations de jeunes et de femmes de l’Agnéby-Tiassa tenu les 17 et 18 septembre 2020 en matière de lutte contre les discours de haine et la prévention des conflits sociopolitiques, l’évêque du diocèse d’Agboville, Mgr Alexis Touabli Youlo, a invité les leaders politique de la région et du pays à pratiquer le bon ton.
Dans son intervention au cours de cet atelier organisé par le PNUD et la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix et l’ONG internationale Verbatims, le prélat a estimé que la violence n’est pas une fatalité. Pour lui, il est nécessaire que les leaders politiques aient de la retenue en cette période de préparation de la présidentielle d’octobre 2020.
Il faut qu’ils s’abstiennent, a-t-il poursuivi, de discours clivant qui pourraient conduire à la stigmatisation, inciter à la haine et à la violence, et à terme fragiliser la cohésion sociale. ‘’Nous prions qu’on en n’arrive pas là. Mais ils doivent savoir qu’ils poursuivent le but, le bien de la nation. Alors qu’ils ne se voient pas comme des ennemis, mais comme des frères, travaillant chacun avec ses différences pour le bien de la mère patrie qu’est la Côte d’Ivoire’’, a conclu l’homme de Dieu.
Par ailleurs, cet atelier qui a mobilisé 40 participants des organisations et associations des jeunes et des femmes leaders de l’Agnéby-Tiassa, a mené des réflexions pour agir pour la paix en déconstruisant les préjugés et les stéréotypes qui nourrissent les discours de haine. Ce, par la lutte contre les fausses informations que relaient les réseaux sociaux à travers diverses recommandations.
Il s’agit, entre autres, pour ces participants, de sensibiliser les jeunes et les femmes à promouvoir le vivre ensemble, de s’approprier la lutte contre la désinformation et les préjugés, d’amener la jeunesse des partis politiques de l’Agnéby-Tiassa et leurs leaders à tenir des discours apaisés, rassembleurs et réconciliateurs, d’inviter les médias et les organes de presse à diffuser des messages justes et vraies.
(AIP)
yy/cma
Dans son intervention au cours de cet atelier organisé par le PNUD et la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix et l’ONG internationale Verbatims, le prélat a estimé que la violence n’est pas une fatalité. Pour lui, il est nécessaire que les leaders politiques aient de la retenue en cette période de préparation de la présidentielle d’octobre 2020.
Il faut qu’ils s’abstiennent, a-t-il poursuivi, de discours clivant qui pourraient conduire à la stigmatisation, inciter à la haine et à la violence, et à terme fragiliser la cohésion sociale. ‘’Nous prions qu’on en n’arrive pas là. Mais ils doivent savoir qu’ils poursuivent le but, le bien de la nation. Alors qu’ils ne se voient pas comme des ennemis, mais comme des frères, travaillant chacun avec ses différences pour le bien de la mère patrie qu’est la Côte d’Ivoire’’, a conclu l’homme de Dieu.
Par ailleurs, cet atelier qui a mobilisé 40 participants des organisations et associations des jeunes et des femmes leaders de l’Agnéby-Tiassa, a mené des réflexions pour agir pour la paix en déconstruisant les préjugés et les stéréotypes qui nourrissent les discours de haine. Ce, par la lutte contre les fausses informations que relaient les réseaux sociaux à travers diverses recommandations.
Il s’agit, entre autres, pour ces participants, de sensibiliser les jeunes et les femmes à promouvoir le vivre ensemble, de s’approprier la lutte contre la désinformation et les préjugés, d’amener la jeunesse des partis politiques de l’Agnéby-Tiassa et leurs leaders à tenir des discours apaisés, rassembleurs et réconciliateurs, d’inviter les médias et les organes de presse à diffuser des messages justes et vraies.
(AIP)
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