Abidjan – Le ministre de la Communication et des Médias, Sidi Touré a jugé essentiel et nécessaire, lundi 28 septembre 2020, pour les états de promouvoir le droit à l’information, qui se présente, désormais comme un droit fondamental, imposable à tous, un indicateur de la bonne gouvernance. .
Il a fait cette déclaration lors de la célébration de la journée internationale de l’accès universel à l’information, à Abidjan.
A cet égard, des efforts du gouvernement pour garantir ce droit sont notables, à travers, notamment, une plus grande accessibilité des populations à toutes les plateformes numériques, une presse écrite diversifiée, près de 165 chaines radio de proximité.
La libéralisation de l’espace télévisuel, la mise en œuvre de la TNT et la dématérialisation des services publics offerts aux citoyens s’inscrit dans cette perspective.
A cet effet, le président de la Commission d’accès à l’information d’intérêt public et aux documents publics (CAIDP), Kébé Yacouba dit avoir pris l’initiative de rendre obligatoire la diffusion spontanée et automatique des données des organismes de l’administration. « Ce mode de diffusion de l’information reste pour nous la clé de voute de la loi relative à l’accès à l’information », a-t-il dit.
Pour la représentante résidente de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science (UNESCO), Anne Lemaistre, l’accès à des informations précis et fiables garantit la responsabilité des actions menées par les populations, face aux difficultés et autres pandémies.
Cette journée internationale de l’accès universel est instituée pour faire prendre conscience aux gouvernements et aux décideurs de l’importance de ce droit à l’information, en faveur du bien commun, en favorisant les Technologies de l'information (TIC), construisant des infrastructures d’information, a conclu Anne Lemaistre.
(AIP)
nmfa/tm
Il a fait cette déclaration lors de la célébration de la journée internationale de l’accès universel à l’information, à Abidjan.
A cet égard, des efforts du gouvernement pour garantir ce droit sont notables, à travers, notamment, une plus grande accessibilité des populations à toutes les plateformes numériques, une presse écrite diversifiée, près de 165 chaines radio de proximité.
La libéralisation de l’espace télévisuel, la mise en œuvre de la TNT et la dématérialisation des services publics offerts aux citoyens s’inscrit dans cette perspective.
A cet effet, le président de la Commission d’accès à l’information d’intérêt public et aux documents publics (CAIDP), Kébé Yacouba dit avoir pris l’initiative de rendre obligatoire la diffusion spontanée et automatique des données des organismes de l’administration. « Ce mode de diffusion de l’information reste pour nous la clé de voute de la loi relative à l’accès à l’information », a-t-il dit.
Pour la représentante résidente de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science (UNESCO), Anne Lemaistre, l’accès à des informations précis et fiables garantit la responsabilité des actions menées par les populations, face aux difficultés et autres pandémies.
Cette journée internationale de l’accès universel est instituée pour faire prendre conscience aux gouvernements et aux décideurs de l’importance de ce droit à l’information, en faveur du bien commun, en favorisant les Technologies de l'information (TIC), construisant des infrastructures d’information, a conclu Anne Lemaistre.
(AIP)
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