Deux représentants de l'opposition ivoirienne, siégeant au sein de la Commission électorale centrale, ont notifié mercredi au président de la Commission électorale indépendante (CEI) la suspension de leurs fonctions, selon une note de l'institution.
Il s'agit de "messieurs Yapo Yapi, commissaire central et Dogou Alain, commissaire central et deuxième vice-président à la Commission électorale indépendante", institution en charge d'organiser l'élection présidentielle du 31 octobre 2020.
Selon la note, ils ont "notifié ce mercredi 30 septembre 2020 au président de la CEI, la suspension de leurs fonctions de commissaires centraux-superviseurs et de 2e vice-président de la Commission électorale indépendante".
La notification de la suspension de leurs fonctions au président de la CEI intervient après une décision des plateformes politiques de l'opposition qui les ont proposé aux fins de siéger à leur compte au sein de la Commission électorale centrale.
L'opposition ivoirienne dénonce une CEI "déséquilibrée" et inféodée de membres proches du pouvoir, réfute le Conseil constitutionnel suite à la validation de la candidature de Alassane Ouattara qu'elle qualifie d'"illégale et anticonstitutionnelle pour un troisième mandat".
AP/ls/APA
Il s'agit de "messieurs Yapo Yapi, commissaire central et Dogou Alain, commissaire central et deuxième vice-président à la Commission électorale indépendante", institution en charge d'organiser l'élection présidentielle du 31 octobre 2020.
Selon la note, ils ont "notifié ce mercredi 30 septembre 2020 au président de la CEI, la suspension de leurs fonctions de commissaires centraux-superviseurs et de 2e vice-président de la Commission électorale indépendante".
La notification de la suspension de leurs fonctions au président de la CEI intervient après une décision des plateformes politiques de l'opposition qui les ont proposé aux fins de siéger à leur compte au sein de la Commission électorale centrale.
L'opposition ivoirienne dénonce une CEI "déséquilibrée" et inféodée de membres proches du pouvoir, réfute le Conseil constitutionnel suite à la validation de la candidature de Alassane Ouattara qu'elle qualifie d'"illégale et anticonstitutionnelle pour un troisième mandat".
AP/ls/APA