Toulepleu - Cinquante leaders baptisés "soldats de la paix", membres des comités de paix issus de 10 villages des cinq sous-préfecture de Toulepleu, renforcement leurs capacités sur la prévention des conflits, l'alerte précoce pour des élections apaisées depuis le 25 septembre 2020, à l'initiative de l'ONG PEHE.
C'est une activité faisant partie du projet d'appui à la prévention des crises en vue de la consolidation de la cohésion et l'inclusion sociale.
Les 50 leaders travaillent au sein de comités constitués de cinq membres chacun. Les chefs de village membres de ces comités en sont d'office les présidents. Ils sont assistés dans cette tâche par le président des jeunes et deux de ses membres.
Le secrétaire général de la préfecture de Toulepleu, représentant le préfet Bini Koffi Étienne, a souhaité que ces comités soient être inclusifs.
''J'ai échangé avec des leaders qui savaient déjà beaucoup sur les dangers liés aux conflits communautaires que je devais juste orienter et actualiser compte tenu du contexte actuel, c'est à dire la période précédente'', a indiqué le consultant en formation de prévention, gestion des conflits et alerte précoce, Traoré sékou.
Ces comités ont pour mission de recueillir, prévenir, discuter périodiquement sur des questions confligènes qui pourraient subvenir dans leurs localités respectives, faire des propositions de solutions, référer les informations nécessaires à l'administration en cas d'incompétence, a renchéri le chef de projet, Bohi Nazer.
snm/bsp/fmo
C'est une activité faisant partie du projet d'appui à la prévention des crises en vue de la consolidation de la cohésion et l'inclusion sociale.
Les 50 leaders travaillent au sein de comités constitués de cinq membres chacun. Les chefs de village membres de ces comités en sont d'office les présidents. Ils sont assistés dans cette tâche par le président des jeunes et deux de ses membres.
Le secrétaire général de la préfecture de Toulepleu, représentant le préfet Bini Koffi Étienne, a souhaité que ces comités soient être inclusifs.
''J'ai échangé avec des leaders qui savaient déjà beaucoup sur les dangers liés aux conflits communautaires que je devais juste orienter et actualiser compte tenu du contexte actuel, c'est à dire la période précédente'', a indiqué le consultant en formation de prévention, gestion des conflits et alerte précoce, Traoré sékou.
Ces comités ont pour mission de recueillir, prévenir, discuter périodiquement sur des questions confligènes qui pourraient subvenir dans leurs localités respectives, faire des propositions de solutions, référer les informations nécessaires à l'administration en cas d'incompétence, a renchéri le chef de projet, Bohi Nazer.
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