Abidjan - Le Centre d’innovations et des technologies de l’anacarde (CITA) de Yamoussoukro ouvert officielle jeudi 1er octobre 2020, se présente comme un pôle technologique dédié à la transformation de la noix de cajou, selon le directeur général du Conseil du Coton et de l’Anacarde, Dr Adama Coulibaly.
L’inauguration du CITA procédée par le président de la République Alassane Ouattara, marque ainsi pour le Conseil du Coton et de l’Anacarde, une étape importante dans la réalisation de l’objectif du gouvernement qui est de relever à l’horizon 2025, le taux de transformation locale de noix brute de cajou de 10% 0 50%.
« Le CITA de Yamoussoukro abritant une ligne de transformation moderne de 6000 tonnes par an, va servir également servir de plateforme de partenariat public-privé, en vue de mener des actions concertées au bénéfice de l’ensemble des acteurs de la filière anacarde », explique Dr Adama Coulibaly.
La conception de ce centre est le fruit d’un partenariat sud-sud entre le Conseil du Coton et de l’Anacarde, l’Institut national polytechnique Houphouêt Boigny de Yamoussoukro (INP-HB) et l’Université Technologique de Ho Chi Minh Ville du Vietnam.
« Le financement des infrastructures et des équipements du CITA d’un montant de 3,9 milliards F CFA a été assuré à 90% par le Conseil du Coton et de l’Anacarde et à 10% par la Banque mondiale sur le guichet BIRD Enclave à travers le projet de promotion de la compétitivité de la chaîne de valeur de l’Anacarde (PPCA), a-t-il précisé.
Le centre d’innovations et des technologies de l’anacarde (CITA) de Yamoussoukro a plusieurs missions notamment la formation des responsables, des entrepreneurs, des superviseurs et des opérateurs des unités industrielles du cajou. Il vise à améliorer l’employabilité des jeunes et des femmes en ouvrant des nouveaux créneaux de formation pratiques qui permettent de disposer sur le marché du travail un vivrier de compétence pour l’industrie de la transformation.
En phase de croisière le CITA va employer 150 personnes dont 120 personnes, a-t-il souligné.
Cet espace intégré de 4,8 Ha, qui regroupe à la fois un site industriel pouvant être utilisé par les sociétés coopératives en vue de la production d’anacarde de cajou, un centre de formation pour tous les opérateurs de la tr et un lieu de transformation de l’anacarde et un lieu de stage d’application des élèves de l’Institut national polytechnique Houphouët Boigny de Yamoussoukro (INP-HB) et des autres écoles et enfin, un pôle d’innovations de technologies et de procédés de transformation.
Statuant sur les actes du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l'anacarde (SIETTA) de 2014, le Conseil des ministres du 15 mars 15, sous ka haute direction du Président de la République, Alassane Ouattara, a autorisé la création d’une usine-école pour adresser les problèmes de compétitivité qui freinaient le développement de la transformation locale de l’anacarde.
(AIP)
tm
L’inauguration du CITA procédée par le président de la République Alassane Ouattara, marque ainsi pour le Conseil du Coton et de l’Anacarde, une étape importante dans la réalisation de l’objectif du gouvernement qui est de relever à l’horizon 2025, le taux de transformation locale de noix brute de cajou de 10% 0 50%.
« Le CITA de Yamoussoukro abritant une ligne de transformation moderne de 6000 tonnes par an, va servir également servir de plateforme de partenariat public-privé, en vue de mener des actions concertées au bénéfice de l’ensemble des acteurs de la filière anacarde », explique Dr Adama Coulibaly.
La conception de ce centre est le fruit d’un partenariat sud-sud entre le Conseil du Coton et de l’Anacarde, l’Institut national polytechnique Houphouêt Boigny de Yamoussoukro (INP-HB) et l’Université Technologique de Ho Chi Minh Ville du Vietnam.
« Le financement des infrastructures et des équipements du CITA d’un montant de 3,9 milliards F CFA a été assuré à 90% par le Conseil du Coton et de l’Anacarde et à 10% par la Banque mondiale sur le guichet BIRD Enclave à travers le projet de promotion de la compétitivité de la chaîne de valeur de l’Anacarde (PPCA), a-t-il précisé.
Le centre d’innovations et des technologies de l’anacarde (CITA) de Yamoussoukro a plusieurs missions notamment la formation des responsables, des entrepreneurs, des superviseurs et des opérateurs des unités industrielles du cajou. Il vise à améliorer l’employabilité des jeunes et des femmes en ouvrant des nouveaux créneaux de formation pratiques qui permettent de disposer sur le marché du travail un vivrier de compétence pour l’industrie de la transformation.
En phase de croisière le CITA va employer 150 personnes dont 120 personnes, a-t-il souligné.
Cet espace intégré de 4,8 Ha, qui regroupe à la fois un site industriel pouvant être utilisé par les sociétés coopératives en vue de la production d’anacarde de cajou, un centre de formation pour tous les opérateurs de la tr et un lieu de transformation de l’anacarde et un lieu de stage d’application des élèves de l’Institut national polytechnique Houphouët Boigny de Yamoussoukro (INP-HB) et des autres écoles et enfin, un pôle d’innovations de technologies et de procédés de transformation.
Statuant sur les actes du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l'anacarde (SIETTA) de 2014, le Conseil des ministres du 15 mars 15, sous ka haute direction du Président de la République, Alassane Ouattara, a autorisé la création d’une usine-école pour adresser les problèmes de compétitivité qui freinaient le développement de la transformation locale de l’anacarde.
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