Grand-Bassam - Des professionnels des médias ont entamé, mardi 6 octobre 2020, à Grand-Bassam, une session de formation initiée par l’observatoire de la liberté de presse, l'éthique et la déontologie (OLPED) en partenariat avec avec l'organisation internationale de la francophonie (OIF) en vue d'une couverture optimale du processus électoral.
Y prennent part une centaine de journalistes et patrons de presse, des organisations de la société civile, des représentants des partis politiques, des forces de l'ordre et d'autres acteurs impliqués dans le processus électoral, qui plancheront durant deux jours sur les acquis théoriques et pratiques de la couverture électorale, les modules spécifiques et contextualisés à la couverture électorale dans "un écosystème médiatique clivant politiquement marqué et un environnement sécuritaire précaire".
La crise post-électorale de 2010 a fait 3000 morts en Côte d’Ivoire, selon les chiffres officiels. Le processus électoral pour l'élection du président de la République a commencé par des tensions qui ont déjà fait 20 morts.
Selon les organisateurs de la formation, la presse ivoirienne a "mauvaise presse" auprès de certains citoyens qui la tiennent pour responsable de la crise sociopolitique en Côte d’Ivoire parce qu'elle est instrumentalisée par des acteurs sociopolitiques.
Il s'agit donc à travers cette formation de permettre aux professionnels des médias de prendre conscience de leur responsabilité et du rôle de la presse dans la consolidation de la démocratie et des élections apaisées.
Un forum quadripartite avec les patrons de presse, les partis politiques, les forces de l’ordre et l'OLPED devra aboutir à l’élaboration d'une charte des obligations en période électorale pour une couverture médiatique qui tienne compte des règles du journalisme.
L'OLPED a été créé en 1995 pour défendre et promouvoir la liberté de la presse, l’éthique et la déontologie du journalisme. Il assure la méditation entre les journalistes, les médias d'une part et, d'autres part entre les médias et le public.
nam/ask
Y prennent part une centaine de journalistes et patrons de presse, des organisations de la société civile, des représentants des partis politiques, des forces de l'ordre et d'autres acteurs impliqués dans le processus électoral, qui plancheront durant deux jours sur les acquis théoriques et pratiques de la couverture électorale, les modules spécifiques et contextualisés à la couverture électorale dans "un écosystème médiatique clivant politiquement marqué et un environnement sécuritaire précaire".
La crise post-électorale de 2010 a fait 3000 morts en Côte d’Ivoire, selon les chiffres officiels. Le processus électoral pour l'élection du président de la République a commencé par des tensions qui ont déjà fait 20 morts.
Selon les organisateurs de la formation, la presse ivoirienne a "mauvaise presse" auprès de certains citoyens qui la tiennent pour responsable de la crise sociopolitique en Côte d’Ivoire parce qu'elle est instrumentalisée par des acteurs sociopolitiques.
Il s'agit donc à travers cette formation de permettre aux professionnels des médias de prendre conscience de leur responsabilité et du rôle de la presse dans la consolidation de la démocratie et des élections apaisées.
Un forum quadripartite avec les patrons de presse, les partis politiques, les forces de l’ordre et l'OLPED devra aboutir à l’élaboration d'une charte des obligations en période électorale pour une couverture médiatique qui tienne compte des règles du journalisme.
L'OLPED a été créé en 1995 pour défendre et promouvoir la liberté de la presse, l’éthique et la déontologie du journalisme. Il assure la méditation entre les journalistes, les médias d'une part et, d'autres part entre les médias et le public.
nam/ask