Des leaders des jeunesses des partis politiques, des associations communales et de la société civile, représentés à Divo, ont été formés, dans un grand hôtel de la ville, sur les dangers de la désinformation en ligne et la nécessité d’un usage responsable des réseaux sociaux en période électorale, afin d’avoir une élection présidentielle apaisée le 31 octobre 2020.
Ce forum tenu, mardi 06 octobre 2020, est une initiative de L’organisation internationale américaine, National democratic institut (NDI), en partenariat avec l’Observatoire ivoirien des droits de l’Homme (OIDH).
Les participants ont été sensibilisés sur les risques de violences et conflits communautaires que les cyber-activistes ou le citoyen lambda font courir à l’ensemble de la société, en diffusant ou partageant de fausses informations sur les réseaux sociaux, surtout en période électorale sensible comme la présidentielle.
Les impétrants ont également appris les techniques d’identification des fausses informations diffusées sur ces réseaux, de même que les dispositions juridiques nationales réprimant le délit de diffusion de fausses nouvelles.
« Plus actifs sur les réseaux sociaux, les jeunes, notre cible principale ici, s’ils s’approprient tout ce qui leur a été enseigné, ils permettront d’éviter, pour l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, les violences que nous avons connues ici à Divo en Août dernier », a déclaré la responsable de la délégation du NDI à ce forum, Régina Yao.
A l’image des localités bénéficiaires de cette formation, notamment Daoukro et Gagnoa, la ville de Divo a connu des violences, les 21 et 22 août 2020, consécutives à une marche de protestation des femmes de l’opposition contre un 3ème mandat du président Ouattara, avec pour conséquences 08 morts, de nombreux blessés et d’importants dégâts matériels. Des rumeurs, relayées sur les réseaux sociaux étaient à la base de ces violences.
(AIP)
jmk/ask
Ce forum tenu, mardi 06 octobre 2020, est une initiative de L’organisation internationale américaine, National democratic institut (NDI), en partenariat avec l’Observatoire ivoirien des droits de l’Homme (OIDH).
Les participants ont été sensibilisés sur les risques de violences et conflits communautaires que les cyber-activistes ou le citoyen lambda font courir à l’ensemble de la société, en diffusant ou partageant de fausses informations sur les réseaux sociaux, surtout en période électorale sensible comme la présidentielle.
Les impétrants ont également appris les techniques d’identification des fausses informations diffusées sur ces réseaux, de même que les dispositions juridiques nationales réprimant le délit de diffusion de fausses nouvelles.
« Plus actifs sur les réseaux sociaux, les jeunes, notre cible principale ici, s’ils s’approprient tout ce qui leur a été enseigné, ils permettront d’éviter, pour l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, les violences que nous avons connues ici à Divo en Août dernier », a déclaré la responsable de la délégation du NDI à ce forum, Régina Yao.
A l’image des localités bénéficiaires de cette formation, notamment Daoukro et Gagnoa, la ville de Divo a connu des violences, les 21 et 22 août 2020, consécutives à une marche de protestation des femmes de l’opposition contre un 3ème mandat du président Ouattara, avec pour conséquences 08 morts, de nombreux blessés et d’importants dégâts matériels. Des rumeurs, relayées sur les réseaux sociaux étaient à la base de ces violences.
(AIP)
jmk/ask