Bouaké - Vingt jeunes leaders, issus des clubs de paix des Universités et grandes écoles, des media, des partis politiques, des bloggeurs et influenceurs, ont été outillés sur les techniques de repérage, de prévention et de gestion des discours de haine au cours d’un atelier de formation organisé par l’ONG Verbatims du 07 au 09 octobre 2020 au centre Jeune Viateur de Bouaké avec l’appui financier de PNUD.
Il s’est agi de renforcer les capacités de ces jeunes leaders afin qu’ils soient à mesure de repérer avec promptitude tous les maux et tous les propos tendant à inciter à la haine sur les réseaux sociaux.
« En cette période pré-électorale, il était bon qu’on puisse donner à ces jeunes, qui sont, pour la plupart, des acteurs des réseaux sociaux, les outils qui vont leur permettre de déceler dans les publications qui sont faites sur les réseaux sociaux celles qui sont de nature à enflammer l’environnement social », a indiqué le chargé de programme de Verbatims, Soualiho Sahandé.
Ces jeunes, venus de Korhogo, Katiola, Béoumi et Bouaké, ont également vu leurs connaissances renforcées sur les mécanismes appropriés à travers les codes et textes juridiques pour pouvoir apporter une réponse efficace à ces propos haineux distillés sur la toile.
Forts de tous ces acquis, ces jeunes seront appelés à sensibiliser non seulement dans leurs structures (clubs de paix) respectives, mais aussi le maximum de jeunes via la plateforme d’observation qui sera mise en place avec l’appui de l’Observatoire de la solidarité et de la cohésion sociale (OSCS).
Cet atelier s’inscrivait dans le cadre de la mise en œuvre du projet intitulé « Les jeunes comme moteurs de prévention des discours de haine et des conflits socio-politiques et communautaires », précise-t-on.
rkk
Il s’est agi de renforcer les capacités de ces jeunes leaders afin qu’ils soient à mesure de repérer avec promptitude tous les maux et tous les propos tendant à inciter à la haine sur les réseaux sociaux.
« En cette période pré-électorale, il était bon qu’on puisse donner à ces jeunes, qui sont, pour la plupart, des acteurs des réseaux sociaux, les outils qui vont leur permettre de déceler dans les publications qui sont faites sur les réseaux sociaux celles qui sont de nature à enflammer l’environnement social », a indiqué le chargé de programme de Verbatims, Soualiho Sahandé.
Ces jeunes, venus de Korhogo, Katiola, Béoumi et Bouaké, ont également vu leurs connaissances renforcées sur les mécanismes appropriés à travers les codes et textes juridiques pour pouvoir apporter une réponse efficace à ces propos haineux distillés sur la toile.
Forts de tous ces acquis, ces jeunes seront appelés à sensibiliser non seulement dans leurs structures (clubs de paix) respectives, mais aussi le maximum de jeunes via la plateforme d’observation qui sera mise en place avec l’appui de l’Observatoire de la solidarité et de la cohésion sociale (OSCS).
Cet atelier s’inscrivait dans le cadre de la mise en œuvre du projet intitulé « Les jeunes comme moteurs de prévention des discours de haine et des conflits socio-politiques et communautaires », précise-t-on.
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