La coalition des partis d’opposition en Côte d’Ivoire a appelé l’Union africaine (UA) et la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) à reporter l’élection présidentielle, prévue pour le 31 octobre 2020 dans le pays pour éviter la menace crise politique dans le pays.
Le président de l’ALTERNATIVE-CI et candidat à la présidentielle pour l’élection, M. Seth Koko, qui a fait l’appel lors d’une conférence de presse au nom de la coalition des partis d’opposition, à Abuja, a noté que le président Alassane Dramane Ouattara n’avait pas respecté la constitution en se présentant pour un troisième mandat.
Seth Koko a souligné que le président Ouattara a décidé de se présenter pour un troisième mandat, en violation flagrante des article 55 et 183 de la Constitution ivoirienne, qui limitent à deux les mandats pour toute personne dans la vie politique ivoirienne, ajoutant qu’il n’a aucun droit et ne devrait pas briguer un troisième mandat.
Il a également appelé à la dissolution du corps électoral, tandis qu’un gouvernement de transition devrait être mis en place pour organiser de nouvelles élections dans le pays, ajoutant que les partis d’opposition dans le pays n’ont aucune confiance dans le corps électoral actuel. Il a également appelé le président Muhammadou Buhari et ses pairs à nommer un médiateur de la CEDEAO-ONU pour la crise ivoirienne.
Le responsable de la mission diplomatique de l’opposition a averti que si le président Ouattara insistait pour tenir l’élection présidentielle et se perpétuer au pouvoir, l’opposition rendrait le pays ingouvernable par tous les moyens légaux pour lui.
Le président de l’ALTERNATIVE-CI et candidat à la présidentielle pour l’élection, M. Seth Koko, qui a fait l’appel lors d’une conférence de presse au nom de la coalition des partis d’opposition, à Abuja, a noté que le président Alassane Dramane Ouattara n’avait pas respecté la constitution en se présentant pour un troisième mandat.
Seth Koko a souligné que le président Ouattara a décidé de se présenter pour un troisième mandat, en violation flagrante des article 55 et 183 de la Constitution ivoirienne, qui limitent à deux les mandats pour toute personne dans la vie politique ivoirienne, ajoutant qu’il n’a aucun droit et ne devrait pas briguer un troisième mandat.
Il a également appelé à la dissolution du corps électoral, tandis qu’un gouvernement de transition devrait être mis en place pour organiser de nouvelles élections dans le pays, ajoutant que les partis d’opposition dans le pays n’ont aucune confiance dans le corps électoral actuel. Il a également appelé le président Muhammadou Buhari et ses pairs à nommer un médiateur de la CEDEAO-ONU pour la crise ivoirienne.
Le responsable de la mission diplomatique de l’opposition a averti que si le président Ouattara insistait pour tenir l’élection présidentielle et se perpétuer au pouvoir, l’opposition rendrait le pays ingouvernable par tous les moyens légaux pour lui.