Abidjan- Le ministère de la Communication et des Médias a organisé mardi 13 octobre 2020 un échange avec les acteurs de l’audiovisuel, aux fins de faire l’évolution de la Télévision numérique terrestre (TNT), à l’approche de la suppression de l’analogie prévue en mars 2021.
« Il était bon pour nous de faire le point aujourd’hui de l’évolution de cette TNT avec tous les acteurs de l’écosystème de l’audiovisuel pour pouvoir passer en revue tous les textes qui ont été adoptés. Nous projeter sur des extensions futures », a indiqué le ministre de la Communication et des Médias, Sidi Touré, lors du déjeuner-débat, à Abidjan.
M. Touré a souligné que les échanges ont été fructueux et les opérateurs ont compris les différents enjeux notamment au niveau du payement des redevances et surtout l’enjeu de disponibilité des différentes chaînes sur la TNT pour le bonheur des ivoiriens.
« Tout ce que nous entreprenons, c’est sur la base de la concertation. Nous sommes toujours votre allié. Vos préoccupations adressez-les nous et nous allons essayer de trouver les meilleures réponses pour vous accompagner » a-t-il rassuré à l’endroit des opérateurs.
Le ministre de la Communication et des Médias a aussi relevé qu’il est important que les ivoiriens comprennent que très bientôt le signal analogique va être éteindre et qu’ils puissent se doter de décodeur et d’antenne appropriés pour recevoir le numérique
« C’est tout bénéfice pour eux. Ils ne payeront pas de droit d’abonnement et en plus de cela ils recevront une qualité d’émission de haute définition », a-t-il ajouté.
La Côte d’Ivoire s’est engagée depuis 2012 à l’installation de la TNT et ce projet a connu une accélération en février 2019 avec l’ouverture de centre national d’émission d’Abobo et la création de la Société ivoirienne de télédiffusion (IDT) qui est le régulateur de la présence des différentes chaînes sur le réseau TNT.
La vocation de la TNT c’est de rendre disponible les chaînes de télévisions à l’attention des populations ivoiriennes de façon gratuite.
ena/tm
« Il était bon pour nous de faire le point aujourd’hui de l’évolution de cette TNT avec tous les acteurs de l’écosystème de l’audiovisuel pour pouvoir passer en revue tous les textes qui ont été adoptés. Nous projeter sur des extensions futures », a indiqué le ministre de la Communication et des Médias, Sidi Touré, lors du déjeuner-débat, à Abidjan.
M. Touré a souligné que les échanges ont été fructueux et les opérateurs ont compris les différents enjeux notamment au niveau du payement des redevances et surtout l’enjeu de disponibilité des différentes chaînes sur la TNT pour le bonheur des ivoiriens.
« Tout ce que nous entreprenons, c’est sur la base de la concertation. Nous sommes toujours votre allié. Vos préoccupations adressez-les nous et nous allons essayer de trouver les meilleures réponses pour vous accompagner » a-t-il rassuré à l’endroit des opérateurs.
Le ministre de la Communication et des Médias a aussi relevé qu’il est important que les ivoiriens comprennent que très bientôt le signal analogique va être éteindre et qu’ils puissent se doter de décodeur et d’antenne appropriés pour recevoir le numérique
« C’est tout bénéfice pour eux. Ils ne payeront pas de droit d’abonnement et en plus de cela ils recevront une qualité d’émission de haute définition », a-t-il ajouté.
La Côte d’Ivoire s’est engagée depuis 2012 à l’installation de la TNT et ce projet a connu une accélération en février 2019 avec l’ouverture de centre national d’émission d’Abobo et la création de la Société ivoirienne de télédiffusion (IDT) qui est le régulateur de la présence des différentes chaînes sur le réseau TNT.
La vocation de la TNT c’est de rendre disponible les chaînes de télévisions à l’attention des populations ivoiriennes de façon gratuite.
ena/tm