Bouaké - Le président ivoirien, Alassane Ouattara, candidat à sa propre succession, a rejeté, vendredi 16 octobre 2020, à Bouaké, toute idée de transition en Côte d’Ivoire, et confirmé la tenue de l’élection présidentielle à la date constitutionnelle du 31 octobre 2020.
« Que les uns et les autres arrêtent de se faire des illusions. Il n’y aura pas de report des élections. Il n’y aura pas de transition en Côte d’Ivoire », a déclaré M. Ouattara lors d’une rencontre avec les chefs traditionnels et religieux de la région de Gbêkê avant le meeting de lancement de sa campagne.
Le dialogue réclamé par l’opposition politique, a-t-il argumenté, a eu lieu à plusieurs reprises, notamment, pour la mise en place de la constitution en 2016, la création de la commission électorale indépendante (CEI) en 2019 et la mise en place du code électorale en 2020.
« J’entends çà et là des gens dire qu’il faut un dialogue, un dialogue pour faire quoi ? », s’est-il interrogé, invitant les candidats de l’opposition à mener campagne pour que les Ivoiriens puissent choisir la personne qu’ils considèrent comme la mieux armée pour présider aux destinées de la Côte d’Ivoire au cours des cinq prochaines années.
rkk/ask
« Que les uns et les autres arrêtent de se faire des illusions. Il n’y aura pas de report des élections. Il n’y aura pas de transition en Côte d’Ivoire », a déclaré M. Ouattara lors d’une rencontre avec les chefs traditionnels et religieux de la région de Gbêkê avant le meeting de lancement de sa campagne.
Le dialogue réclamé par l’opposition politique, a-t-il argumenté, a eu lieu à plusieurs reprises, notamment, pour la mise en place de la constitution en 2016, la création de la commission électorale indépendante (CEI) en 2019 et la mise en place du code électorale en 2020.
« J’entends çà et là des gens dire qu’il faut un dialogue, un dialogue pour faire quoi ? », s’est-il interrogé, invitant les candidats de l’opposition à mener campagne pour que les Ivoiriens puissent choisir la personne qu’ils considèrent comme la mieux armée pour présider aux destinées de la Côte d’Ivoire au cours des cinq prochaines années.
rkk/ask