Les violences ont à nouveau éclaté dans la ville de Bongouanou, ce samedi 17 octobre, après celles de la veille, selon plusieurs témoignages sur place.
Joints au téléphone, des habitants ont signalé le pillage et l’incendie de l’Institut d’Enseignement Général et Technique(IEGT).
Certaines résidences dont celles du député-maire de Bongouanou et le président du FPI ont été la cible d’attaques d’individus.
"Ils (Ndr : des individus) sont arrivés à la maison du maire et y ont mis le feu. Les forces de l’ordre ont pu intervenir à temps et ont empêché que le feu s’empare de toute la maison", explique un habitant.
Les violences qui avaient connu une accalmie au cours de la nuit ont repris dans la matinée et des individus se sont attaqués à plusieurs commerces dans la ville.
Ces incidents dans cette ville à l’intérieur du pays sont consécutifs à l’appel à la désobéissance civile lancé par l’opposition en vue d’empêcher toute action du processus électoral de la présidentielle du 31 octobre et amener le pouvoir à prendre en compte ses revendications au nombre desquelles la mise en place d’une Commission électorale indépendante (CEI) « crédible » et le retrait de la candidature d’Alassane Ouattara.
La situation , à la mi-journée, était toujours délétère et laissait craindre une montée de la tension dans cette ville d’où est originaire le président du FPI, Pascal Affi N’Guessan.
Rk
Joints au téléphone, des habitants ont signalé le pillage et l’incendie de l’Institut d’Enseignement Général et Technique(IEGT).
Certaines résidences dont celles du député-maire de Bongouanou et le président du FPI ont été la cible d’attaques d’individus.
"Ils (Ndr : des individus) sont arrivés à la maison du maire et y ont mis le feu. Les forces de l’ordre ont pu intervenir à temps et ont empêché que le feu s’empare de toute la maison", explique un habitant.
Les violences qui avaient connu une accalmie au cours de la nuit ont repris dans la matinée et des individus se sont attaqués à plusieurs commerces dans la ville.
Ces incidents dans cette ville à l’intérieur du pays sont consécutifs à l’appel à la désobéissance civile lancé par l’opposition en vue d’empêcher toute action du processus électoral de la présidentielle du 31 octobre et amener le pouvoir à prendre en compte ses revendications au nombre desquelles la mise en place d’une Commission électorale indépendante (CEI) « crédible » et le retrait de la candidature d’Alassane Ouattara.
La situation , à la mi-journée, était toujours délétère et laissait craindre une montée de la tension dans cette ville d’où est originaire le président du FPI, Pascal Affi N’Guessan.
Rk