Abengourou -Les populations d’Abengourou (Est, région de l’Indénié-Djuablin) ont exprimé mercredi 21 octobre 2020, dans un micro trottoir réalisé par l'AIP, leurs inquiétudes face aux nombreuses violences qui émaillent la campagne électorale et invitent les partis politiques au dialogue pour une présidentielle apaisée en Côte d’Ivoire.
Selon Kobéna Joseph, coiffeur à Abengourou, contrairement à la campagne présidentielle de 2010 et celle de 2015, cette année la campagne est timide et moins importante. « Mais ce sont des actes de violence qui sont plutôt signalés au quotidien dans nos régions », fait remarquer M. Kobénan.
Karim Koné, propriétaire des garages automobiles à Abengourou, demande aux acteurs politiques de renouer avec le dialogue pour s’entendre. Il invite l’opposition à manifester sans empêcher le déroulement du processus électoral.
« Le nœud du problème, c’est le non-respect de la constitution notre loi fondamentale qui a été violée », fait savoir Kouadio Patrice, enseignant. Il estime toutefois qu’un dialogue sincère pourrait faire entendre raison pour éviter à la Côte d’Ivoire les violences constatées au quotidien.
Pour Sabine Yapi, vendeuse dans une quincaillerie, les hommes politiques doivent « se débrouiller » pour que le peuple ivoirien ne subisse pas une crise pareille à celle de 2010.
Le Premier vice-président du conseil régional de l’Indénié-Djuablin, Wouadja Essay, demande aux manifestants de l’opposition de ne pas barrer les routes parce qu’ils ne sont pas contents « Ils doivent garder le calme parce que la démocratie c’est aussi cela », rappelle-t-il. M. Wouadja estime qu’en définitive il s’agit pour chaque ivoirien de rechercher le développement de sa région et de la Côte d’Ivoire, et non la destruction du pays.
nam/tm
Selon Kobéna Joseph, coiffeur à Abengourou, contrairement à la campagne présidentielle de 2010 et celle de 2015, cette année la campagne est timide et moins importante. « Mais ce sont des actes de violence qui sont plutôt signalés au quotidien dans nos régions », fait remarquer M. Kobénan.
Karim Koné, propriétaire des garages automobiles à Abengourou, demande aux acteurs politiques de renouer avec le dialogue pour s’entendre. Il invite l’opposition à manifester sans empêcher le déroulement du processus électoral.
« Le nœud du problème, c’est le non-respect de la constitution notre loi fondamentale qui a été violée », fait savoir Kouadio Patrice, enseignant. Il estime toutefois qu’un dialogue sincère pourrait faire entendre raison pour éviter à la Côte d’Ivoire les violences constatées au quotidien.
Pour Sabine Yapi, vendeuse dans une quincaillerie, les hommes politiques doivent « se débrouiller » pour que le peuple ivoirien ne subisse pas une crise pareille à celle de 2010.
Le Premier vice-président du conseil régional de l’Indénié-Djuablin, Wouadja Essay, demande aux manifestants de l’opposition de ne pas barrer les routes parce qu’ils ne sont pas contents « Ils doivent garder le calme parce que la démocratie c’est aussi cela », rappelle-t-il. M. Wouadja estime qu’en définitive il s’agit pour chaque ivoirien de rechercher le développement de sa région et de la Côte d’Ivoire, et non la destruction du pays.
nam/tm