Abidjan - L’Union européenne (UE) appelle les acteurs politiques ivoiriens à accélérer le dialogue sur les points de désaccord et à rejeter explicitement tout recours à la violence et à la menace.
Dans une déclaration rendue publique vendredi 23 octobre 2020, le du Haut représentant/Vice-président Joseph Borell déplore les graves violences de ces derniers jours et exprime son inquiétude devant le manque de consensus entourant le processus électoral.
Il appelle donc les institutions chargées des élections à tout mettre en œuvre pour la tenue d’un scrutin transparent et crédible, dont les résultats seront le reflet du vote des ivoiriens.
Joseph Borell s’inquiète aussi des tentatives d’empêcher les citoyens de pouvoir exercer leur droit de vote à quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire.
Environ 7,5 millions d’électeurs sont convoqués le 31 octobre 2020 à choisir parmi quatre candidats le prochain président de la République pour les cinq prochaines années. Deux des candidats officiels en lice ont appelé leurs militants et sympathisants à la désobéissance civile, estimant que la candidature du président sortant, Alassane Ouattara, est « anticonstitutionnelle et illégale ».
kp
Dans une déclaration rendue publique vendredi 23 octobre 2020, le du Haut représentant/Vice-président Joseph Borell déplore les graves violences de ces derniers jours et exprime son inquiétude devant le manque de consensus entourant le processus électoral.
Il appelle donc les institutions chargées des élections à tout mettre en œuvre pour la tenue d’un scrutin transparent et crédible, dont les résultats seront le reflet du vote des ivoiriens.
Joseph Borell s’inquiète aussi des tentatives d’empêcher les citoyens de pouvoir exercer leur droit de vote à quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire.
Environ 7,5 millions d’électeurs sont convoqués le 31 octobre 2020 à choisir parmi quatre candidats le prochain président de la République pour les cinq prochaines années. Deux des candidats officiels en lice ont appelé leurs militants et sympathisants à la désobéissance civile, estimant que la candidature du président sortant, Alassane Ouattara, est « anticonstitutionnelle et illégale ».
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