Bongouanou - Le président de la République Alassane Ouattara a manifesté sa compassion aux familles des victimes des affrontements survenus vendredi 16 et samedi 17 octobre 2020 à Bongouanou.
Cette compassion a été exprimée par l'inspecteur général Ahoua N'doli Théophile au cours d'une cérémonie organisée vendredi 23 octobre 2020 à la préfecture de Bongouanou.
Une aide financière a été apportée aux 32 blessés officiellement enregistrés à l'hôpital général de Bongouanou.
Les familles des jeunes décédés, au nombre de trois, ont également reçu un soutien financier pour l'organisation des obsèques également.
"Nous avons apporté rapidement ces soutiens pour aider les blessés à faire face aux soins et aux trois familles pour les obsèques", a précisé Ahoua N'doli.
L'inspecteur général a profité de l’occasion pour lancer un appel à l'apaisement.
"Nous sommes venus pour apaiser les cœurs. L'argent ne peut rien faire pour une famille qui a perdu un enfant (...). Je suis un enfant de cette région. Quand on dit qu'un enfant d'ici est blessé je suis concerné. Je n'ai pas demandé de carte d'un parti politique à mon arrivée ", a renchéri l'inspecteur général.
Pour le cas de trois jeunes portés disparus porté à sa connaissance le même jour il a exigé que les informations nécessaires soient données à la gendarmerie pour engager une recherche. De plus à certains blessés qui disent ne pas être pris en compte il a été demandé de se faire enregistrer en se rendant à l'hôpital général.
(AIP)
sa/apk/tm
Cette compassion a été exprimée par l'inspecteur général Ahoua N'doli Théophile au cours d'une cérémonie organisée vendredi 23 octobre 2020 à la préfecture de Bongouanou.
Une aide financière a été apportée aux 32 blessés officiellement enregistrés à l'hôpital général de Bongouanou.
Les familles des jeunes décédés, au nombre de trois, ont également reçu un soutien financier pour l'organisation des obsèques également.
"Nous avons apporté rapidement ces soutiens pour aider les blessés à faire face aux soins et aux trois familles pour les obsèques", a précisé Ahoua N'doli.
L'inspecteur général a profité de l’occasion pour lancer un appel à l'apaisement.
"Nous sommes venus pour apaiser les cœurs. L'argent ne peut rien faire pour une famille qui a perdu un enfant (...). Je suis un enfant de cette région. Quand on dit qu'un enfant d'ici est blessé je suis concerné. Je n'ai pas demandé de carte d'un parti politique à mon arrivée ", a renchéri l'inspecteur général.
Pour le cas de trois jeunes portés disparus porté à sa connaissance le même jour il a exigé que les informations nécessaires soient données à la gendarmerie pour engager une recherche. De plus à certains blessés qui disent ne pas être pris en compte il a été demandé de se faire enregistrer en se rendant à l'hôpital général.
(AIP)
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