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La journée du mardi 27 octobre a été marquée par des échauffourées entre les éléments des forces de sécurité et des manifestants dans la ville de Daoukro avec plusieurs dégâts.
Depuis plus d’une semaine, les voies d’accès nord et sud de la ville de Daoukro dans la région de l’Iffou sont régulièrement obstruées par des troncs d’arbres et autres branchages par des jeunes des villages riverains répondant au mot d’ordre de désobéissance civile de l’opposition ivoirienne.
Au cours de cette journée les éléments des forces de sécurité ont dispersé à coups de gaz lacrymogène des manifestants qui avaient pu ériger des barrages à divers endroits de la ville, fief du président Henri Konan Bédié.
Selon plusieurs témoignages, dans ce désordre, le siège local de la Commission Electorale Indépendante (CEI) a été visité par des individus non identifiés et a subi les affres de cette journée de violence. Tout le matériel informatique et bureautique a été calciné non loin du siège local de cette institution chargée d’organiser les élections.
Dans la soirée des images de véhicules de transports incendiés ont été attribuées aux évènements liés aux violences dans la ville. Il s’agit des véhicules de transports dont l’acquisition a été facilitée auprès des banques par le gouvernement dans le cadre du renouvellement du parc automobiles dans le secteur.
Au niveau de la capitale économique, à Abidjan, un autobus de la Sotra a été incendié tôt dans la matinée par des individus à la Riviéra 2. Une note de la société des transports abidjanais précise que le machiniste a été partiellement brûlé au bras après avoir été aspergé d’essence qui a servi à mettre le feu au véhicule.
L’élection présidentielle dans le pays doit se tenir le samedi prochain et seuls les candidats Alassane Ouattara et KKB (Indépendant) ont fait campagne. Les candidats Henri Konan (PDCI-RDA) et Pascal N’Guessan (FPI) ont appelé leurs militants à boycotter le processus électoral.
Rk
Depuis plus d’une semaine, les voies d’accès nord et sud de la ville de Daoukro dans la région de l’Iffou sont régulièrement obstruées par des troncs d’arbres et autres branchages par des jeunes des villages riverains répondant au mot d’ordre de désobéissance civile de l’opposition ivoirienne.
Au cours de cette journée les éléments des forces de sécurité ont dispersé à coups de gaz lacrymogène des manifestants qui avaient pu ériger des barrages à divers endroits de la ville, fief du président Henri Konan Bédié.
Selon plusieurs témoignages, dans ce désordre, le siège local de la Commission Electorale Indépendante (CEI) a été visité par des individus non identifiés et a subi les affres de cette journée de violence. Tout le matériel informatique et bureautique a été calciné non loin du siège local de cette institution chargée d’organiser les élections.
Dans la soirée des images de véhicules de transports incendiés ont été attribuées aux évènements liés aux violences dans la ville. Il s’agit des véhicules de transports dont l’acquisition a été facilitée auprès des banques par le gouvernement dans le cadre du renouvellement du parc automobiles dans le secteur.
Au niveau de la capitale économique, à Abidjan, un autobus de la Sotra a été incendié tôt dans la matinée par des individus à la Riviéra 2. Une note de la société des transports abidjanais précise que le machiniste a été partiellement brûlé au bras après avoir été aspergé d’essence qui a servi à mettre le feu au véhicule.
L’élection présidentielle dans le pays doit se tenir le samedi prochain et seuls les candidats Alassane Ouattara et KKB (Indépendant) ont fait campagne. Les candidats Henri Konan (PDCI-RDA) et Pascal N’Guessan (FPI) ont appelé leurs militants à boycotter le processus électoral.
Rk
