Le Grand-Ouest est totalement mobilisé pour dire non au 3ème mandat anticonstitutionnel d’Alassane Ouattara. Depuis que le mot d’ordre de désobéissance civile a été lancé, tous les cadres de cette partie du pays multiplient les rencontres, sensibilisent les populations. Les responsables régionaux et départementaux des partis de l’opposition font feu de tout bois pour faire barrage à la forfaiture. Ainsi, sur le terrain, tout le monde est à la tâche. L’objectif est le même partout : « Pas d’élections le 31 octobre ». Les cadres du Pdci-Rda, du Fpi sous la houlette des ministre Hubert Oulaye et Guiriélou Emile, de l’Udpci conduite par le ministre Toikeusse Mabri, du Raci et de tous les autres groupements politiques engagent leurs militants et sympathisants, dans ce combat pour une Côte d’Ivoire démocratique. Le Pdci-Rda, avec le Président Henri Konan Bédié et tous les membres des instances, est à l’avant-garde de ce sursaut national pour l’écriture d’une nouvelle page de la Côte d’Ivoire. Derrière, des élus, maires, députés, présidents de Conseils régionaux, sont tous engagés pour une bataille commune. Le Pdci-Rda compte des vice-présidents dans le Grand-Ouest dont le Ministre Emile Constant Bombet, le doyen Aoua Touré, Mme la ministre Léopoldine Tiézan-Coffi, le Général Michel Gueu, Bleu Lainé, le ministre Désiré Gnonkonté ; le Grand-Ouest s’honore d’avoir plusieurs cadres dans le Secrétariat exécutif du Pdci-Rda. Dont, en autres, Pr Maurice Kakou Guikahué, secrétaire exécutif en chef, Me Sui Bi Emile, Kouassi Bodi Théodore, Séri Bi Guessan Privat, tous du Centre-Ouest. Plus loin, dans l’Ouest-montagneux, on a le maire Denis Kah Zion, Gba Daouda… Toutes ses personnalités, en parfaite communion avec leurs frères des autres partis, ont su expliquer et faire accepter aux populations le bien-fondé du combat de l’opposition. C’est donc des populations déterminées à s’opposer au hold-up électoral de Ouattara qui entendent lui opposer un non cinglant dès demain.
JB.K.
JB.K.