Agboville – Le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) a initié jeudi 29 octobre 2020, à travers sa commission régionale des Droits de l’Homme de l’Agnéby-Tiassa(CRDH) un atelier de renforcement des capacités d’une cinquantaine de bénévoles appelés à observer l’élection présidentielle du 31octobre 2020.
Ces bénévoles issus des régions de l’Agnéby-Tiassa et de la Mé ont été instruits sur le cadre juridique des élections, sur ce qu’est une observation sur le processus électoral, avant, pendant et le contentieux électoral.
Selon la formatrice Augou Yvonne, présidente de la Commission régionale des Droits de l’Homme de l’Agnéby-Tiassa, le contenu est relatif à des outils élaborés pour conduire l’observation durant le déroulement du scrutin. Tandis que d’autres outils se rapportent a-t-elle dit, à l’ouverture des bureaux de vote, aux responsables desdits bureaux, aux matériels électoraux et à la présence discrète des forces de sécurité.
Le dernier outil mis à la disposition des observateurs concerne le dépouillement du vote, la centralisation des résultats au niveau départemental et régional.
L’observateur dont le champ d’action devrait se limiter à cinq lieux de vote, se doit de mentionner dit-on, tout ce qui est anormal dans le déroulement du scrutin, sans toutefois interférer là-dedans, et renseigner correctement l’outil qui sert de procès verbal (PV), devant permettre au CNDH d’apporter une appréciation sur la crédibilité de l’élection.
La formation bénéficie de l’appui financier du NED (National Endowment for democracy), une structure internationale chargée des questions des Droits de l’Homme.
yy/ask
Ces bénévoles issus des régions de l’Agnéby-Tiassa et de la Mé ont été instruits sur le cadre juridique des élections, sur ce qu’est une observation sur le processus électoral, avant, pendant et le contentieux électoral.
Selon la formatrice Augou Yvonne, présidente de la Commission régionale des Droits de l’Homme de l’Agnéby-Tiassa, le contenu est relatif à des outils élaborés pour conduire l’observation durant le déroulement du scrutin. Tandis que d’autres outils se rapportent a-t-elle dit, à l’ouverture des bureaux de vote, aux responsables desdits bureaux, aux matériels électoraux et à la présence discrète des forces de sécurité.
Le dernier outil mis à la disposition des observateurs concerne le dépouillement du vote, la centralisation des résultats au niveau départemental et régional.
L’observateur dont le champ d’action devrait se limiter à cinq lieux de vote, se doit de mentionner dit-on, tout ce qui est anormal dans le déroulement du scrutin, sans toutefois interférer là-dedans, et renseigner correctement l’outil qui sert de procès verbal (PV), devant permettre au CNDH d’apporter une appréciation sur la crédibilité de l’élection.
La formation bénéficie de l’appui financier du NED (National Endowment for democracy), une structure internationale chargée des questions des Droits de l’Homme.
yy/ask