Gagnoa - Des humoristes et comédiens du département de Gagnoa ont organisé jeudi 29 octobre 2020, une caravane pour appeler à une élection sans violence, à deux jours de la tenue du scrutin.
Les messages tels que "Elections sans violence, Gagnoa s’y engage", "Mon candidat gagne, d’accord, mais élections sans violences d’abord", etc, sont autant de slogan sur les banderoles, placées à la préfecture, à la mairie, rond-point de l'hôpital, mais aussi, au siège de campagne des candidats Ouattara Alassane et Kouadio Konan Bertin.
Réussir des élections sans violence à Gagnoa, est l’objectif que s’est fixé les humoristes, comédiens et artistes du département, conduits par Nazié Franck, alias ‘Zoguéhi Le Caméléon’, avec le soutien du secrétaire d’Etat auprès du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, chargée des Droits de l’Homme, Aimée Zébéyoux.
« Il n’y aura rien à Gagnoa comme violence », a assuré Mme Zébéyoux, avant d’inviter chacun à aller voter et faire le bon choix sans palabre tout en respectant le droit de l’autre. Selon elle, la chefferie traditionnelle, les leaders communautaires, sont d’avis pour permettre à chaque citoyen de voter s’il le désire.
(AIP)
dd/fmo
Les messages tels que "Elections sans violence, Gagnoa s’y engage", "Mon candidat gagne, d’accord, mais élections sans violences d’abord", etc, sont autant de slogan sur les banderoles, placées à la préfecture, à la mairie, rond-point de l'hôpital, mais aussi, au siège de campagne des candidats Ouattara Alassane et Kouadio Konan Bertin.
Réussir des élections sans violence à Gagnoa, est l’objectif que s’est fixé les humoristes, comédiens et artistes du département, conduits par Nazié Franck, alias ‘Zoguéhi Le Caméléon’, avec le soutien du secrétaire d’Etat auprès du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, chargée des Droits de l’Homme, Aimée Zébéyoux.
« Il n’y aura rien à Gagnoa comme violence », a assuré Mme Zébéyoux, avant d’inviter chacun à aller voter et faire le bon choix sans palabre tout en respectant le droit de l’autre. Selon elle, la chefferie traditionnelle, les leaders communautaires, sont d’avis pour permettre à chaque citoyen de voter s’il le désire.
(AIP)
dd/fmo