Les chefs des villages de Béoumi, au cours d'une rencontre organisée à la résidence du préfet du département Jules Gouessé, lundi 02 novembre 2020, ont promis de rencontrer les jeunes de leur village respectif pour la levée des barricades érigées pour protester contre la tenue de l'élection présidentielle tenue le 31 octobre.
Le préfet de Béoumi, entouré de certains cadres de la localité, a rencontré les chefs de village, les responsables de jeunesse et les couches socio-politiques pour tenter de résoudre cette situation qui perturbe la quiétude des populations depuis la tenue du scrutin.
Le chef de canton de Béoumi, Nanan Ago Yao Barthélémy, a appelé tous les chefs de village à faire des propositions allant dans le sens de l'apaisement.
Pour la grande majorité des intervenants, les barricades érigées dans les villages ne sont pas de leur ressort. Selon eux, ces barrages seraient l'œuvre d'individus non identifiés venant d'ailleurs qui agissent nuitamment.
Les cadres de Béoumi ont plaidé pour que la chefferie traditionnelle puisse les aider à convaincre tous les jeunes afin que toutes les barricades érigées soient levées pour permettre la circulation des personnes et des biens.
Le préfet Jules Gouessé a, pour sa part, rappelé que l'autorité aurait pu utiliser la force pour régler cette situation mais il a préféré opter pour le dialogue afin d'éviter des désagréments au sein de la population.
Il a donc exhorté tous les chefs de village à mettre tout en œuvre pour que les barricades érigées disparaissent le plus tôt possible.
(AIP)
nyl/kkf/cmas
Le préfet de Béoumi, entouré de certains cadres de la localité, a rencontré les chefs de village, les responsables de jeunesse et les couches socio-politiques pour tenter de résoudre cette situation qui perturbe la quiétude des populations depuis la tenue du scrutin.
Le chef de canton de Béoumi, Nanan Ago Yao Barthélémy, a appelé tous les chefs de village à faire des propositions allant dans le sens de l'apaisement.
Pour la grande majorité des intervenants, les barricades érigées dans les villages ne sont pas de leur ressort. Selon eux, ces barrages seraient l'œuvre d'individus non identifiés venant d'ailleurs qui agissent nuitamment.
Les cadres de Béoumi ont plaidé pour que la chefferie traditionnelle puisse les aider à convaincre tous les jeunes afin que toutes les barricades érigées soient levées pour permettre la circulation des personnes et des biens.
Le préfet Jules Gouessé a, pour sa part, rappelé que l'autorité aurait pu utiliser la force pour régler cette situation mais il a préféré opter pour le dialogue afin d'éviter des désagréments au sein de la population.
Il a donc exhorté tous les chefs de village à mettre tout en œuvre pour que les barricades érigées disparaissent le plus tôt possible.
(AIP)
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