La crise née de la présidentielle du 31 octobre 2020 a secoué plusieurs localités du pays. Dans la perspective d’une paix durable dans le Gbêkê, le ministre de la Communication et des Médias, Sidi Touré, a rencontré les présidents des mutuelles de développement des villages, au District d’Abidjan, le jeudi 05 novembre 2020, rencontre à l’issue de laquelle ils ont convenu de mener des missions de paix dans les différents villages.
A l’issue des échanges, dans un esprit de respect mutuel, il a été adopté que les présidents des mutuelles conduisent des missions de sensibilisations dans les différents villages, ce week-end, à l’effet de lever les barrages et autres entraves constatés çà et là, dans les différentes localités, en vue de faciliter la bonne circulation des personnes et des biens.
Pour rappel, le cortège du ministre a essuyé des tirs lors de son retour à Bouaké, le lendemain de la présidentielle ; il y a eu des blessés.
Le ministre fonde beaucoup d’espoir en cette mission, parce qu’il estime que ces acteurs de développement (présidents de mutuelles) n’étant pas politiques, ont du crédit auprès des populations. « Vous n’êtes pas politiques, c’est pour ça vous êtes légitimes aux yeux de nos parents (…) », s’est-il exprimé.
A en croire le porte-parole du gouvernement, fils de la région, les populations sont prises en otage par les hommes politiques. Et la conséquence, ce sont les parents qui souffrent au quotidien.
« Nous sommes dans un schéma dangereux pour notre région. La posture politique qui est en train de naître dans notre région n’est pas bonne », a-t-il déploré, face à son auditoire, avant de souligner que cela n’a pas de fondement relativement à la politique de développement à laquelle aspirent les populations dans leur grand ensemble.
Dans ses propos liminaires, le ministre a évoqué les évènements malheureux de Béoumi qui a coûté la vie à 16 personnes. « Nous avions eu le malheur de vivre une crise inter-communautaire, il y a un an ».
Au cours de ces évènements malheureux, il a rappelé que les cadres ont été encouragés à l’effet de ramener l’ensemble des populations à l’essentiel. Malheureusement, les évènements de ces derniers temps indiquent qu’il y a beaucoup par faire.
Le ministre se dit donc inquiet face à l’ampleur que connaît la politique politicienne dans la région. Il compte donc aborder cet autre aspect des choses après la mission de sensibilisation ; il envisage renforcer les capacités des présidents de mutuelles, notamment dans le cadre de la gestion des rumeurs par la jeunesse.
Le ministre a rappelé, à cette occasion, que l’enjeu dont il est question aujourd’hui dans nos villages, c’est l’adduction en eau potable, l’électrification des villages, la construction des routes, etc.
A l’issue des échanges, dans un esprit de respect mutuel, il a été adopté que les présidents des mutuelles conduisent des missions de sensibilisations dans les différents villages, ce week-end, à l’effet de lever les barrages et autres entraves constatés çà et là, dans les différentes localités, en vue de faciliter la bonne circulation des personnes et des biens.
Pour rappel, le cortège du ministre a essuyé des tirs lors de son retour à Bouaké, le lendemain de la présidentielle ; il y a eu des blessés.
Le ministre fonde beaucoup d’espoir en cette mission, parce qu’il estime que ces acteurs de développement (présidents de mutuelles) n’étant pas politiques, ont du crédit auprès des populations. « Vous n’êtes pas politiques, c’est pour ça vous êtes légitimes aux yeux de nos parents (…) », s’est-il exprimé.
A en croire le porte-parole du gouvernement, fils de la région, les populations sont prises en otage par les hommes politiques. Et la conséquence, ce sont les parents qui souffrent au quotidien.
« Nous sommes dans un schéma dangereux pour notre région. La posture politique qui est en train de naître dans notre région n’est pas bonne », a-t-il déploré, face à son auditoire, avant de souligner que cela n’a pas de fondement relativement à la politique de développement à laquelle aspirent les populations dans leur grand ensemble.
Dans ses propos liminaires, le ministre a évoqué les évènements malheureux de Béoumi qui a coûté la vie à 16 personnes. « Nous avions eu le malheur de vivre une crise inter-communautaire, il y a un an ».
Au cours de ces évènements malheureux, il a rappelé que les cadres ont été encouragés à l’effet de ramener l’ensemble des populations à l’essentiel. Malheureusement, les évènements de ces derniers temps indiquent qu’il y a beaucoup par faire.
Le ministre se dit donc inquiet face à l’ampleur que connaît la politique politicienne dans la région. Il compte donc aborder cet autre aspect des choses après la mission de sensibilisation ; il envisage renforcer les capacités des présidents de mutuelles, notamment dans le cadre de la gestion des rumeurs par la jeunesse.
Le ministre a rappelé, à cette occasion, que l’enjeu dont il est question aujourd’hui dans nos villages, c’est l’adduction en eau potable, l’électrification des villages, la construction des routes, etc.