Abidjan - L’Institut de sécurité maritime interregional (ISMI) organise du 16 au 20 novembre 2020, une formation sur le ciblage et la fouille des navires à Dakar au Sénégal en faveur d’une quinzaine d’auditeurs douaniers, policiers, administrateurs des affaires maritimes, officiers de marine provenant de cinq pays de la sous-région.
Ce stage de niveau 2 est organisé par la coopération française via la Direction de la coopération de sécurité et de défense (DCSD), en partenariat avec la Direction générale française des douanes et droits indirects (DGDDI) et le poste de l’attaché douanier régional, précise une note d'information transmise à l'AIP, samedi 14 novembre 2020.
Bénéficiant de l’appui de la Direction générale des douanes sénégalaises, cette formation qui débutera sur le site de l’hôtel Savana à Dakar mettra l’accent sur l’alternance des phases théoriques et pratiques avec des séquences à bord de navires pour l’ensemble des stagiaires dont la grande majorité exerce déjà des fonctions opérationnelles dans le domaine considéré et ont suivi en 2019 la formation de niveau 1 à Abidjan.
En Afrique de l’ouest et du centre, les ports sont les principaux points d’entrée et de sortie des flux de marchandises, et à moindre échelle, des personnes. Leur importance est stratégique pour l’économie africaine. Dans ce contexte, la sécurité portuaire participe évidemment de la sécurité maritime entendue de manière globale, et partant de la sécurité nationale et régionale.
A l’heure où 90 % des échanges mondiaux passent par la voie maritime, le golfe de Guinée et plus largement les côtes centre et ouest africaines constituent des carrefours intercontinentaux parmi les plus fréquentés du monde. Cela se traduit entre autres par une concentration croissante de navires de tous types. De façon logique, ce vecteur est également utilisé par des organisations de fraude pour mettre en place toutes sortes de trafics illicites : stupéfiants, faux médicaments, espèces protégées, armes, etc, signale-t-on.
bsb/kam
Ce stage de niveau 2 est organisé par la coopération française via la Direction de la coopération de sécurité et de défense (DCSD), en partenariat avec la Direction générale française des douanes et droits indirects (DGDDI) et le poste de l’attaché douanier régional, précise une note d'information transmise à l'AIP, samedi 14 novembre 2020.
Bénéficiant de l’appui de la Direction générale des douanes sénégalaises, cette formation qui débutera sur le site de l’hôtel Savana à Dakar mettra l’accent sur l’alternance des phases théoriques et pratiques avec des séquences à bord de navires pour l’ensemble des stagiaires dont la grande majorité exerce déjà des fonctions opérationnelles dans le domaine considéré et ont suivi en 2019 la formation de niveau 1 à Abidjan.
En Afrique de l’ouest et du centre, les ports sont les principaux points d’entrée et de sortie des flux de marchandises, et à moindre échelle, des personnes. Leur importance est stratégique pour l’économie africaine. Dans ce contexte, la sécurité portuaire participe évidemment de la sécurité maritime entendue de manière globale, et partant de la sécurité nationale et régionale.
A l’heure où 90 % des échanges mondiaux passent par la voie maritime, le golfe de Guinée et plus largement les côtes centre et ouest africaines constituent des carrefours intercontinentaux parmi les plus fréquentés du monde. Cela se traduit entre autres par une concentration croissante de navires de tous types. De façon logique, ce vecteur est également utilisé par des organisations de fraude pour mettre en place toutes sortes de trafics illicites : stupéfiants, faux médicaments, espèces protégées, armes, etc, signale-t-on.
bsb/kam