1,3 milliards d’habitants en 2019, contre 2 milliards dans vingt ans, selon la Banque africaine de développement (Bad). Un atout pour le continent africain dont la consommation locale pourrait être l’une des clefs de voûte du développement du berceau de l’humanité.
« La première priorité des pays doit consister à changer les structures des économies qui dépendent largement de l’exportation des matières premières ce qui alimente notre dépendance à l’aide étrangère », Nanan Akufo Addo président du Ghana. Une réflexion à débats certainement, mais une opinion qui invite implicitement à la consommation locale des produits locaux agricoles notamment et de leurs transformations. Une petite révolution qui devrait renforcer la croissance économique des Etats africains peu désormais enclins à l’exportation tout azimut pour un développement de la coopération sud-sud.
Malgré des millions de terres arables, l’Afrique continue encore d’être dépendante de produits alimentaires basiques comme le riz. Un développement de ce secteur permettrait de sortir de cette dépendance et d’assurer la consommation locale ce qui éviterait la ‘’fuite’’ de nombreux capitaux au profit d’investissements majeurs.
L’Afrique pourrait par ailleurs rattraper son retard par la technologie et impulser une meilleure dynamique. Elle en les moyens et les hommes. En Côte d’Ivoire, Ange Frédérick Balma a inventé le Lifi Led, une connexion à internet via les ampoules led, avec un débit trente fois plus rapide et supérieur au wifi ordinaire. Un appui de l’Etat ivoirien ou d’opérateurs africains auraient permis un développement technologique de son pays d’origine et une meilleure pénétration d’internet dans cette partie de l’Afrique, mais surtout une indépendance technologique dans ce domaine.
Dans le secteur de la santé, les africains ont su développer une médecine propre à son environnement. Un cadre appuyé par certains Etats certes, mais qui mériteraient d’être davantage développé et mieux apprécié de ses populations pour une consommation plus accrue et plus sereine. La consommation locale de ces produits serait une énorme source de richesses pour nos Etats d’Afrique.
Aucun système politique ne peut prospérer sans discipline. L’éducation apparait par conséquent comme un maillon essentiel pour la survie de nos Etats. Un système éducatif tenant compte de nos mœurs, de notre histoire et de notre culture devrait renforcer le développement de nos nations, certes ouvertes au monde, mais enracinées dans ses traditions.
Le développement des Etats africains, qu’il soit lié à la consommation locale ou à la transformation de ses matières premières agricoles, ne pourra être que par une volonté politique affirmée et soutenue. Réel gage de son décollage !
« La première priorité des pays doit consister à changer les structures des économies qui dépendent largement de l’exportation des matières premières ce qui alimente notre dépendance à l’aide étrangère », Nanan Akufo Addo président du Ghana. Une réflexion à débats certainement, mais une opinion qui invite implicitement à la consommation locale des produits locaux agricoles notamment et de leurs transformations. Une petite révolution qui devrait renforcer la croissance économique des Etats africains peu désormais enclins à l’exportation tout azimut pour un développement de la coopération sud-sud.
Malgré des millions de terres arables, l’Afrique continue encore d’être dépendante de produits alimentaires basiques comme le riz. Un développement de ce secteur permettrait de sortir de cette dépendance et d’assurer la consommation locale ce qui éviterait la ‘’fuite’’ de nombreux capitaux au profit d’investissements majeurs.
L’Afrique pourrait par ailleurs rattraper son retard par la technologie et impulser une meilleure dynamique. Elle en les moyens et les hommes. En Côte d’Ivoire, Ange Frédérick Balma a inventé le Lifi Led, une connexion à internet via les ampoules led, avec un débit trente fois plus rapide et supérieur au wifi ordinaire. Un appui de l’Etat ivoirien ou d’opérateurs africains auraient permis un développement technologique de son pays d’origine et une meilleure pénétration d’internet dans cette partie de l’Afrique, mais surtout une indépendance technologique dans ce domaine.
Dans le secteur de la santé, les africains ont su développer une médecine propre à son environnement. Un cadre appuyé par certains Etats certes, mais qui mériteraient d’être davantage développé et mieux apprécié de ses populations pour une consommation plus accrue et plus sereine. La consommation locale de ces produits serait une énorme source de richesses pour nos Etats d’Afrique.
Aucun système politique ne peut prospérer sans discipline. L’éducation apparait par conséquent comme un maillon essentiel pour la survie de nos Etats. Un système éducatif tenant compte de nos mœurs, de notre histoire et de notre culture devrait renforcer le développement de nos nations, certes ouvertes au monde, mais enracinées dans ses traditions.
Le développement des Etats africains, qu’il soit lié à la consommation locale ou à la transformation de ses matières premières agricoles, ne pourra être que par une volonté politique affirmée et soutenue. Réel gage de son décollage !