Korhogo– La Commission régionale des droits de l’homme et le comité régional de veille et de prévention des conflits de Korhogo a sensibilisé les ressortissants des pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) vivant dans la région du Poro à scolariser leurs enfants et à s’abstenir de marier leurs filles avant 18 ans.
Selon le président de la Commission régionale des droits de l’homme, Djiré Abdoulaye, la rencontre qui s’est tenue, dimanche 22 novembre 2020, avec les responsables des différentes communautés de la CEDEAO, a permis de « poser la problématique du respect des lois », notamment le droit à l’éducation des enfants et l’interdiction du mariage forcé ou précoce des femmes et jeunes filles.
Les mariages obligatoires ou arrangés de filles mineures (parfois de 12 ans) et le phénomène d'enfants bouviers sont des pratiques courantes chez les membres de la communauté CEDEAO vivant dans le Poro, rappelle-t-on.
Le respect des lois renforce la cohésion sociale et concourt au maintien de la paix sociale, a souligné M. Djiré, au cours de cette rencontre.
kaem/ask
Selon le président de la Commission régionale des droits de l’homme, Djiré Abdoulaye, la rencontre qui s’est tenue, dimanche 22 novembre 2020, avec les responsables des différentes communautés de la CEDEAO, a permis de « poser la problématique du respect des lois », notamment le droit à l’éducation des enfants et l’interdiction du mariage forcé ou précoce des femmes et jeunes filles.
Les mariages obligatoires ou arrangés de filles mineures (parfois de 12 ans) et le phénomène d'enfants bouviers sont des pratiques courantes chez les membres de la communauté CEDEAO vivant dans le Poro, rappelle-t-on.
Le respect des lois renforce la cohésion sociale et concourt au maintien de la paix sociale, a souligné M. Djiré, au cours de cette rencontre.
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