A l'invitation de Gando Coulibaly, préfet du département de Sakassou, Sidi Tiémoko Touré, ministre de la Communication et des Médias a pris part, le samedi 28 novembre dans le cours de la préfecture de la localité, à une cérémonie pour la consolidation de la paix.
Selon le préfet Gando Coulibaly, cette cérémonie a pour objectif de renforcer la cohabitation et la fraternité entre les populations afin d'améliorer les synergies pour relever les défis communs auxquels sont confrontées le département de Sakassou après la crise survenue dans la ville au lendemain de l'élection présidentielle d'octobre dernier. Conséquences, 89 blessés dont 03 graves et d'énormes dégâts matériels.
A cette occasion, le porte-parole du gouvernement a apporté soutien et compassion aux victimes de cette crise. Avant le ministre Sidi Tiémoko Touré a livré un message de tolérance, d'unité et de pardon. Avant de mettre en mission les populations de Sakassou à œuvrer davantage afin de faire de la paix, une réalité.
"Préférez la paix, la sécurité et le vivre ensemble. N'acceptez pas les messages qui vous divise. Reveillez-vous chers parents de Sakassou. Laisser la politique aux politiciens. Ce dont vous avez besoin, c'est le développement et la non la haine et la division. Nous devons être guidé par le développement", a exhorté le ministre Sidi Touré.
En présence d'Emmanuel Ahoutou, Directeur de Cabinet du Premier ministre Hamed Bakayoko, de l'ensemble des 172 chefs de villages, des chefs de communautés, des guides religieux, des jeunes et de femmes de Sakassou. Aux jeunes, le ministre Sidi Touré n’a pas manqué de rappeler, qu’il ne servait à rien pour eux, de chaque fois s'adonner à des actes de de violences, de vandalismes ou meurtriers qui pourraient entacher leur devenir.
"Il faut sortir de ces mots d'ordre qui ne vous arrangent pas. Désobéissance civile où coupez les voix de circulation. Il ne sert à rien de détruire les biens d’autres. Il ne sert à rien de bloquer les voix avec arbres ou des pneus incendiés. Ce sont des actes qui vous punissent vous-même. Il faut que désormais, la raison dominine. Les menaces, les discriminations, la division et les affrontements ne vous servirons à rien à part à faire le chou gras de politiciens ou autres personnes tapis dans l'ombre qui se frottent les mains et se félicitent à chaque fois que vous vous affronter. Ne donnez pas vos vies à des politiciens que vous ne connaissez pas personnellement, et surtout qui ne vous connaissent pas du tout et ne vous connaitront jamais. Si vous mourrez pour eux, c’est gratuit. Et c’est vos différentes familles qui en subiront les lourdes conséquences. On ne pose pas un acte politique avec des armes à feu ou des armes blanches. Sachiez que tous actes de violence sera réprimandé par loi. Et sur cette question, l'État sera ferme et intangible", a souligné le ministre Sidi Touré dans un franc langage afin de ramener les jeunes à une prise de conscience.
Les porte-paroles de communautés autochtones et allogènes ont chacun à leurs tours exprimé les condoléances aux familles des victimes tout en condamnant fermement les actions de violences qui plombent le développement de Sakassou. Ils ont également souligné la nécessité d'une approche multidimensionnelle pour s'attaquer aux causes profondes des crises dans le département de Sakassou et ont appelé à une coopération renforcée entre toutes les filles et tous les fils du département de Sakas.
Selon le préfet Gando Coulibaly, cette cérémonie a pour objectif de renforcer la cohabitation et la fraternité entre les populations afin d'améliorer les synergies pour relever les défis communs auxquels sont confrontées le département de Sakassou après la crise survenue dans la ville au lendemain de l'élection présidentielle d'octobre dernier. Conséquences, 89 blessés dont 03 graves et d'énormes dégâts matériels.
A cette occasion, le porte-parole du gouvernement a apporté soutien et compassion aux victimes de cette crise. Avant le ministre Sidi Tiémoko Touré a livré un message de tolérance, d'unité et de pardon. Avant de mettre en mission les populations de Sakassou à œuvrer davantage afin de faire de la paix, une réalité.
"Préférez la paix, la sécurité et le vivre ensemble. N'acceptez pas les messages qui vous divise. Reveillez-vous chers parents de Sakassou. Laisser la politique aux politiciens. Ce dont vous avez besoin, c'est le développement et la non la haine et la division. Nous devons être guidé par le développement", a exhorté le ministre Sidi Touré.
En présence d'Emmanuel Ahoutou, Directeur de Cabinet du Premier ministre Hamed Bakayoko, de l'ensemble des 172 chefs de villages, des chefs de communautés, des guides religieux, des jeunes et de femmes de Sakassou. Aux jeunes, le ministre Sidi Touré n’a pas manqué de rappeler, qu’il ne servait à rien pour eux, de chaque fois s'adonner à des actes de de violences, de vandalismes ou meurtriers qui pourraient entacher leur devenir.
"Il faut sortir de ces mots d'ordre qui ne vous arrangent pas. Désobéissance civile où coupez les voix de circulation. Il ne sert à rien de détruire les biens d’autres. Il ne sert à rien de bloquer les voix avec arbres ou des pneus incendiés. Ce sont des actes qui vous punissent vous-même. Il faut que désormais, la raison dominine. Les menaces, les discriminations, la division et les affrontements ne vous servirons à rien à part à faire le chou gras de politiciens ou autres personnes tapis dans l'ombre qui se frottent les mains et se félicitent à chaque fois que vous vous affronter. Ne donnez pas vos vies à des politiciens que vous ne connaissez pas personnellement, et surtout qui ne vous connaissent pas du tout et ne vous connaitront jamais. Si vous mourrez pour eux, c’est gratuit. Et c’est vos différentes familles qui en subiront les lourdes conséquences. On ne pose pas un acte politique avec des armes à feu ou des armes blanches. Sachiez que tous actes de violence sera réprimandé par loi. Et sur cette question, l'État sera ferme et intangible", a souligné le ministre Sidi Touré dans un franc langage afin de ramener les jeunes à une prise de conscience.
Les porte-paroles de communautés autochtones et allogènes ont chacun à leurs tours exprimé les condoléances aux familles des victimes tout en condamnant fermement les actions de violences qui plombent le développement de Sakassou. Ils ont également souligné la nécessité d'une approche multidimensionnelle pour s'attaquer aux causes profondes des crises dans le département de Sakassou et ont appelé à une coopération renforcée entre toutes les filles et tous les fils du département de Sakas.