Bouna-La troupe Yaka-Yaka de Camarasso, championne de la 4e édition du Festival des danses traditionnelles du Bounkani (FESTIBO) en 2016, a encore fait parler d'elle au cours de la 8e édition de ce rendez-vous culturel qui s'est déroulée les vendredi 4 et samedi 5 décembre 2020 à Bouna.
Tous les groupes vainqueurs de toutes les éditions du FESTIBO ont été invités pour une prestation libre aux fins de promouvoir les danses de leurs terroirs et surtout offrir au public un spectacle marquant.
C'est à ce titre que la troupe de Camarasso, avec sa mythique danse le ''Yaka Yaka'', est entrée sur scène. Dès l'apparition de la troupe, l'originalité du costume avait déjà conquis toute l'assistance. La tenue d'origine Dagomba aux couleurs vives et fraiches mise par les danseurs a été vivement acclamée.
Leurs bâtons savamment maniés mêlés à la dextérité de leurs pas, le tout dans un mouvement d'ensemble homogène a fini par convaincre le public qui a laissé entendre sa satisfaction.
Fait marquant, la présence d'un enfant dans le jeu chorégraphique de la troupe n'a pas manqué de séduire les autorités parmi lesquelles certains ont vu, à travers ce symbole, la relève qui se prépare pour la pérennisation de cette danse.
La huitième édition du FESTIBO a été une édition sobre, sans compétitions, mais profondément axée sur des réflexions en vue de la redynamisation du festival, pour les années à venir.
on/fmo
Tous les groupes vainqueurs de toutes les éditions du FESTIBO ont été invités pour une prestation libre aux fins de promouvoir les danses de leurs terroirs et surtout offrir au public un spectacle marquant.
C'est à ce titre que la troupe de Camarasso, avec sa mythique danse le ''Yaka Yaka'', est entrée sur scène. Dès l'apparition de la troupe, l'originalité du costume avait déjà conquis toute l'assistance. La tenue d'origine Dagomba aux couleurs vives et fraiches mise par les danseurs a été vivement acclamée.
Leurs bâtons savamment maniés mêlés à la dextérité de leurs pas, le tout dans un mouvement d'ensemble homogène a fini par convaincre le public qui a laissé entendre sa satisfaction.
Fait marquant, la présence d'un enfant dans le jeu chorégraphique de la troupe n'a pas manqué de séduire les autorités parmi lesquelles certains ont vu, à travers ce symbole, la relève qui se prépare pour la pérennisation de cette danse.
La huitième édition du FESTIBO a été une édition sobre, sans compétitions, mais profondément axée sur des réflexions en vue de la redynamisation du festival, pour les années à venir.
on/fmo