Yamoussoukro – Le Sénat ivoirien a validé, jeudi 10 décembre 2020, un budget de 1011.900.662.454 francs CFA au titre du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle (MENETFP) pour l’année 2021.
Selon les explications de la ministre Kandia Camara, 77,40% de cette cagnotte consacrée au MENETFP iront aux dépenses du personnel notamment les salaires et seulement 4,90% prévus pour les investissements.
La répartition par programme indique que 58,64% du budget global, soit 593,38 milliards francs CFA, serviront au secteur de l’enseignement préscolaire et primaire contre 367,06 milliards pour l’enseignement secondaire général.
Au cours des échanges avec les représentants du peuple avant le vote de ce budget, ces derniers ont pour la plupart regretté que les prétentions financières des responsables du secteur de l’éducation nationale ne soient en mesure de combler les attentes des populations ivoiriennes et certains sénateurs ont ouvertement plaidé pour l’augmentation de l’enveloppe à allouer au MENETFP.
Selon Kandia Camara les perspectives pour la programmation 2021/2023 englobent la poursuite du recrutement des enseignants du primaire et du secondaire afin de combler le déficit de même l’amélioration de la capacité d’accueil dans le public par la poursuite et l’achèvement des programmes de construction en cours.
La ministre a profité de ce passage au Sénat pour annoncer qu’environ 1400 enseignants sont en train d’être déployés dans plusieurs établissements scolaires du pays, matérialisant du coup la volonté des autorités ivoiriennes de prendre à bras le corps la question des déficits.
Le gouvernement entend, par ailleurs, poursuivre et renforcer les mesures liées à la gratuité, à savoir la distribution de kits et manuels scolaires, des mallettes pédagogiques et la fourniture de vivres dans les cantines.
A la faveur de son passage au Sénat, Kandia Camara a abordé plusieurs autres questions liées au fonctionnement de son département ministériel et qui n’entrent pas forcément dans le cadre rigoureux de l’adoption du budget. La ministre a toutefois accepté d’apporter les éclairages sollicités par les sénateurs notamment la question des comités de gestion des établissements scolaires (COGES).
gso/fmo
Selon les explications de la ministre Kandia Camara, 77,40% de cette cagnotte consacrée au MENETFP iront aux dépenses du personnel notamment les salaires et seulement 4,90% prévus pour les investissements.
La répartition par programme indique que 58,64% du budget global, soit 593,38 milliards francs CFA, serviront au secteur de l’enseignement préscolaire et primaire contre 367,06 milliards pour l’enseignement secondaire général.
Au cours des échanges avec les représentants du peuple avant le vote de ce budget, ces derniers ont pour la plupart regretté que les prétentions financières des responsables du secteur de l’éducation nationale ne soient en mesure de combler les attentes des populations ivoiriennes et certains sénateurs ont ouvertement plaidé pour l’augmentation de l’enveloppe à allouer au MENETFP.
Selon Kandia Camara les perspectives pour la programmation 2021/2023 englobent la poursuite du recrutement des enseignants du primaire et du secondaire afin de combler le déficit de même l’amélioration de la capacité d’accueil dans le public par la poursuite et l’achèvement des programmes de construction en cours.
La ministre a profité de ce passage au Sénat pour annoncer qu’environ 1400 enseignants sont en train d’être déployés dans plusieurs établissements scolaires du pays, matérialisant du coup la volonté des autorités ivoiriennes de prendre à bras le corps la question des déficits.
Le gouvernement entend, par ailleurs, poursuivre et renforcer les mesures liées à la gratuité, à savoir la distribution de kits et manuels scolaires, des mallettes pédagogiques et la fourniture de vivres dans les cantines.
A la faveur de son passage au Sénat, Kandia Camara a abordé plusieurs autres questions liées au fonctionnement de son département ministériel et qui n’entrent pas forcément dans le cadre rigoureux de l’adoption du budget. La ministre a toutefois accepté d’apporter les éclairages sollicités par les sénateurs notamment la question des comités de gestion des établissements scolaires (COGES).
gso/fmo