Le président ivoirien, Alassane Ouattara, s'est "réjoui" jeudi de la mise en liberté sous contrôle judiciaire de certains opposants inculpés pour atteinte à l'autorité de l'Etat, dans le cadre de la présidentielle d'octobre 2020, dans un discours à la Nation à la veille du nouvel an.
"Je me réjouis de la mise en liberté sous contrôle judiciaire de certains inculpés, détenus à titre préventif dans le cadre des procédures judiciaires ouvertes pour complot et atteinte à l'autorité de l'Etat commis à l'occasion de l'élection présidentielle du 31 octobre 2020", a dit M. Ouattara.
Il a fait observer que "les violences à la désobéissance civile de certains partis de l'opposition se sont hélas soldées par des pertes en vies humaines, des blessés et des dégâts matériels importants".
"Bien évidemment, la justice fera son travail afin que les responsabilités soient situées et la loi sera appliquée dans toute sa rigueur", a déclaré le président ivoirien, s'inclinant à nouveau devant la mémoire des 87 victimes de ces violences.
Affi Nguessan, porte-parole de l'opposition, incarcéré après son arrestation le 6 novembre 2020, a été libéré et mis sous contrôle judiciaire, mercredi. Et ce, au lendemain de la clôture de la troisième phase du dialogue politique.
Lors de sa prestation de serment, le président ivoirien Alassane Ouattara avait instruit son Premier ministre Hamed Bakayoko afin de relancer le dialogue politique avec l'opposition et la société civile.
Les discussions se sont déroulées du 21 au 29 décembre 2020 en vue de la préparation des élections législatives qui doivent avoir lieu "impérativement" selon M. Ouattara au mois de mars 2021. Le rapport final a requis la libération des responsables de l'opposition incarcérés.
M. Ouattara a salué l'adhésion de toutes les parties concernées à ce dialogue qui a enregistré la participation de tous les partis et groupements politiques et la société civile, tout en se félicitant de la "qualité du dialogue inclusif et des points de convergence qui se sont dégagés".
"Je me réjouis de la mise en liberté sous contrôle judiciaire de certains inculpés, détenus à titre préventif dans le cadre des procédures judiciaires ouvertes pour complot et atteinte à l'autorité de l'Etat commis à l'occasion de l'élection présidentielle du 31 octobre 2020", a dit M. Ouattara.
Il a fait observer que "les violences à la désobéissance civile de certains partis de l'opposition se sont hélas soldées par des pertes en vies humaines, des blessés et des dégâts matériels importants".
"Bien évidemment, la justice fera son travail afin que les responsabilités soient situées et la loi sera appliquée dans toute sa rigueur", a déclaré le président ivoirien, s'inclinant à nouveau devant la mémoire des 87 victimes de ces violences.
Affi Nguessan, porte-parole de l'opposition, incarcéré après son arrestation le 6 novembre 2020, a été libéré et mis sous contrôle judiciaire, mercredi. Et ce, au lendemain de la clôture de la troisième phase du dialogue politique.
Lors de sa prestation de serment, le président ivoirien Alassane Ouattara avait instruit son Premier ministre Hamed Bakayoko afin de relancer le dialogue politique avec l'opposition et la société civile.
Les discussions se sont déroulées du 21 au 29 décembre 2020 en vue de la préparation des élections législatives qui doivent avoir lieu "impérativement" selon M. Ouattara au mois de mars 2021. Le rapport final a requis la libération des responsables de l'opposition incarcérés.
M. Ouattara a salué l'adhésion de toutes les parties concernées à ce dialogue qui a enregistré la participation de tous les partis et groupements politiques et la société civile, tout en se félicitant de la "qualité du dialogue inclusif et des points de convergence qui se sont dégagés".