Gagnoa - La secrétaire d’Etat auprès du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, chargée des Droits de l’Homme, Aimée Zébéyoux, a salué vendredi 15 janvier 2021 à Gagnoa, l’engagement des leaders de jeunes, pour des élections législatives apaisées dans le département.
« Je suis venue continuer ce message de paix et d’apaisement », a déclaré Mme Zébéyoux qui salué non seulement les engagements pris le 28 août 2020 par les jeunes locaux, en présence du Premier ministre, de ne pas se laisser « instrumentaliser » par les politiques.
Elle les a invités à demeurer dans la dynamique de la réconciliation, afin que Gagnoa connaisse des législatives sans violences.
Lors des échanges avec la centaine de jeunes leaders venus de toutes les contrées du département de Gagnoa, la magistrate hors hiérarchie a insisté sur le respect des droits de l’autre dans la différence. Elle a soutenu que si la jeunesse a le droit d’appartenir à un parti politique, elle se doit de respecter le droit de vote des autres, avec pour conséquence, le respect des directives des droits de l’homme.
En vue d’anticiper sur toutes nouvelles dérives, la secrétaire d’Etat aux Droits de l’homme a décidé d’échanger avec tous les acteurs de la vie politique, à commencer par les jeunes, souvent utilisés comme fer de lance des violentes manifestations de rues qui débouchent parfois sur des conflits intercommunautaires.
Durant cette rencontre à la salle de conférences de la préfecture de région du Gôh où la parole a été libérée, chacun des jeunes leaders a exprimé sa vision de la cohésion sociale à Gagnoa et indiqué le chemin pour y parvenir.
Certains d’entre eux ont souhaité des échanges fréquents et réguliers avec les autorités, et l’appui aux jeunes dans des projets générateurs de revenus, afin de leur permettre de quitter dans la précarité.
La secrétaire d’Etat a promis ne pas s’arrêter au niveau des jeunes, mais poursuivre les échanges avec les premiers responsables des partis politiques de la localité ainsi que les acteurs de la société civile.
Les élections législatives sont prévues pour le 06 mars 2021, signale-t-on.
Dd/kp
« Je suis venue continuer ce message de paix et d’apaisement », a déclaré Mme Zébéyoux qui salué non seulement les engagements pris le 28 août 2020 par les jeunes locaux, en présence du Premier ministre, de ne pas se laisser « instrumentaliser » par les politiques.
Elle les a invités à demeurer dans la dynamique de la réconciliation, afin que Gagnoa connaisse des législatives sans violences.
Lors des échanges avec la centaine de jeunes leaders venus de toutes les contrées du département de Gagnoa, la magistrate hors hiérarchie a insisté sur le respect des droits de l’autre dans la différence. Elle a soutenu que si la jeunesse a le droit d’appartenir à un parti politique, elle se doit de respecter le droit de vote des autres, avec pour conséquence, le respect des directives des droits de l’homme.
En vue d’anticiper sur toutes nouvelles dérives, la secrétaire d’Etat aux Droits de l’homme a décidé d’échanger avec tous les acteurs de la vie politique, à commencer par les jeunes, souvent utilisés comme fer de lance des violentes manifestations de rues qui débouchent parfois sur des conflits intercommunautaires.
Durant cette rencontre à la salle de conférences de la préfecture de région du Gôh où la parole a été libérée, chacun des jeunes leaders a exprimé sa vision de la cohésion sociale à Gagnoa et indiqué le chemin pour y parvenir.
Certains d’entre eux ont souhaité des échanges fréquents et réguliers avec les autorités, et l’appui aux jeunes dans des projets générateurs de revenus, afin de leur permettre de quitter dans la précarité.
La secrétaire d’Etat a promis ne pas s’arrêter au niveau des jeunes, mais poursuivre les échanges avec les premiers responsables des partis politiques de la localité ainsi que les acteurs de la société civile.
Les élections législatives sont prévues pour le 06 mars 2021, signale-t-on.
Dd/kp