Abidjan -Le ministre de l’Agriculture et du Développement Rural, Kobenan Kouassi Adjoumani s’est rendu, vendredi 22 janvier 2021 à Gbolouville dans le département de Tiassalé sur l'axe Sikensi-N'douci, dans la ferme agricole ‘’les produits fermiers Ivoiriens", spécialisée dans la production de tomate hors-sol, pour encourager les promoteurs dudit projet.
M. Adjoumani a salué cette belle initiative qui permet en pleine saison sèche de produire la tomate cerise sur le territoire ivoirien.
«La tomate cerise n’était pas produite en Côte d’Ivoire. Elle nous arrivait du Maroc et de l’Europe. Grâce à cette technologie, on en produit en Côte d’Ivoire. Voici une jeune ivoirienne qui est allée en Israël et a découvert comment on peut produire de la tomate de cette envergure. De retour, elle a mis ce projet en marche avec une équipe» s’est-il réjoui.
Il a félicité les promoteurs de cette technique développée en Côte d’Ivoire qui fait que le pays n’importe plus de la tomate cerise.
«Nous avons besoin de soutenir de telles initiatives. C’est pourquoi je suis heureux de venir toucher du doigt la réalité du terrain et demander à ce que l’Etat investisse davantage dans de tels projets», a le ministre de l'Agriculture.
A la différence des productions de rente soumises au marché international, les cultures vivrières ont une grande marge tant au niveau local et hors du pays, a-t-il soutenu, rappelant que le président de la République, Alassane Ouattara demande que l’accent soit mis sur la production maraichère et vivrière dans le cadre de ses missions.
Selon le responsable de production de la ferme agricole, l’ingénieur agricole, Daouda Coulibaly, ce projet a été possible grâce à une formation effectuée en Israël pour maîtriser la technique de la culture hors-sol et surtout les équipements modernes de la ferme.
Au total 38 jeunes ivoiriens sont employés dans ce champ de tomates qui approvisionne le marché local à travers les chaines de supermarchés ou encore les particuliers.
Bsp/ask
M. Adjoumani a salué cette belle initiative qui permet en pleine saison sèche de produire la tomate cerise sur le territoire ivoirien.
«La tomate cerise n’était pas produite en Côte d’Ivoire. Elle nous arrivait du Maroc et de l’Europe. Grâce à cette technologie, on en produit en Côte d’Ivoire. Voici une jeune ivoirienne qui est allée en Israël et a découvert comment on peut produire de la tomate de cette envergure. De retour, elle a mis ce projet en marche avec une équipe» s’est-il réjoui.
Il a félicité les promoteurs de cette technique développée en Côte d’Ivoire qui fait que le pays n’importe plus de la tomate cerise.
«Nous avons besoin de soutenir de telles initiatives. C’est pourquoi je suis heureux de venir toucher du doigt la réalité du terrain et demander à ce que l’Etat investisse davantage dans de tels projets», a le ministre de l'Agriculture.
A la différence des productions de rente soumises au marché international, les cultures vivrières ont une grande marge tant au niveau local et hors du pays, a-t-il soutenu, rappelant que le président de la République, Alassane Ouattara demande que l’accent soit mis sur la production maraichère et vivrière dans le cadre de ses missions.
Selon le responsable de production de la ferme agricole, l’ingénieur agricole, Daouda Coulibaly, ce projet a été possible grâce à une formation effectuée en Israël pour maîtriser la technique de la culture hors-sol et surtout les équipements modernes de la ferme.
Au total 38 jeunes ivoiriens sont employés dans ce champ de tomates qui approvisionne le marché local à travers les chaines de supermarchés ou encore les particuliers.
Bsp/ask