Dans le cadre du projet FORMAR, financé par l’Union Européenne à hauteur d’un milliards de Francs CFA soit 1,5 million d’euros, l’Institut de Sécurité Maritime Interrégional (ISMI), a procédé au lancement officiel de la première des seize formations planifiées jusqu’en 2024 ce lundi 25 janvier 2021 à Abidjan.
Ce premier séminaire, s’est ouvert autour du thème « Répression des infractions commises en mer : piraterie maritime, vol à mains armées, immigration illégale, narcotrafic et pêche INN ». Prévue du 25 au 29 janvier 2021 à l’Académie Régionale des Sciences et Techniques de la Mer (ARSTM) à Abidjan, ce sont vingt-cinq (25) participants constitués de Magistrats et Avocats de neuf Etats membres de la CEDEAO qui prennent part à cette formation de haut niveau.
Selon les organisateurs, ce séminaire vise à renforcer les capacités des personnels judiciaires en matière de droit pénal dans la lutte contre la piraterie maritime, le vol à mains armées, l’immigration illégale, le narcotrafic et la Pêche INN, conformément aux engagements des Etats de la CEDEAO, et ceux issus des résolutions du Sommet de Yaoundé.
Le programme FORMAR, a pour ambition de renforcer les capacités techniques des professionnels civils et militaires des Etats de la CEDEAO travaillant dans les centres nationaux et régionaux de coordination des opérations maritimes.
Cette subvention permettra de financer 16 cycles de formation entre 2021 et 2024 et s’inscrit dans le cadre du soutien de l’UE à la Stratégie Maritime Intégrée de la CEDEAO.
À en croire le colonel Karim Coulibaly, les formations couvriront des thématiques variées allant du régime pénal des infractions en mer à l’exercice de la police en mer en passant par le blanchiment d’argent lié aux activités maritimes. "Ainsi durant les 4 années de mise en œuvre, ce sont 400 acteurs clés qui seront formés dans le domaine de la sécurité et de la sûreté maritime.", a-t-il précisé.
Le représentant de l’Union Européenne Michel Laloge a révélé que la croissance des échanges maritime va de pair avec la croissance économique. Plus de 90% du commerce mondial se fait par voie maritime. Selon lui, l’impact économique de la criminalité maritime représente une menace sérieuse et lourde de conséquences pour les nations et les partenaires concernés. Face à ce constat, l’Union Européenne apporte son assistance à plusieurs niveaux. "C’est dans ce cadre que nous avons octroyé une subvention de 1,5 million d’euros soit 1 milliard FCFA à l’Institut de sécurité maritime interrégional (ISIM). Afin de mettre en œuvre le projet de formation maritime qui nous réunit aujourd’hui.", a-t-il expliqué.
Cyprien K.
Ce premier séminaire, s’est ouvert autour du thème « Répression des infractions commises en mer : piraterie maritime, vol à mains armées, immigration illégale, narcotrafic et pêche INN ». Prévue du 25 au 29 janvier 2021 à l’Académie Régionale des Sciences et Techniques de la Mer (ARSTM) à Abidjan, ce sont vingt-cinq (25) participants constitués de Magistrats et Avocats de neuf Etats membres de la CEDEAO qui prennent part à cette formation de haut niveau.
Selon les organisateurs, ce séminaire vise à renforcer les capacités des personnels judiciaires en matière de droit pénal dans la lutte contre la piraterie maritime, le vol à mains armées, l’immigration illégale, le narcotrafic et la Pêche INN, conformément aux engagements des Etats de la CEDEAO, et ceux issus des résolutions du Sommet de Yaoundé.
Le programme FORMAR, a pour ambition de renforcer les capacités techniques des professionnels civils et militaires des Etats de la CEDEAO travaillant dans les centres nationaux et régionaux de coordination des opérations maritimes.
Cette subvention permettra de financer 16 cycles de formation entre 2021 et 2024 et s’inscrit dans le cadre du soutien de l’UE à la Stratégie Maritime Intégrée de la CEDEAO.
À en croire le colonel Karim Coulibaly, les formations couvriront des thématiques variées allant du régime pénal des infractions en mer à l’exercice de la police en mer en passant par le blanchiment d’argent lié aux activités maritimes. "Ainsi durant les 4 années de mise en œuvre, ce sont 400 acteurs clés qui seront formés dans le domaine de la sécurité et de la sûreté maritime.", a-t-il précisé.
Le représentant de l’Union Européenne Michel Laloge a révélé que la croissance des échanges maritime va de pair avec la croissance économique. Plus de 90% du commerce mondial se fait par voie maritime. Selon lui, l’impact économique de la criminalité maritime représente une menace sérieuse et lourde de conséquences pour les nations et les partenaires concernés. Face à ce constat, l’Union Européenne apporte son assistance à plusieurs niveaux. "C’est dans ce cadre que nous avons octroyé une subvention de 1,5 million d’euros soit 1 milliard FCFA à l’Institut de sécurité maritime interrégional (ISIM). Afin de mettre en œuvre le projet de formation maritime qui nous réunit aujourd’hui.", a-t-il expliqué.
Cyprien K.